Composé par
G. H.
————— 02 Novembre 2013 à 18h42 —— 20474 vues
Si vous dormiez ces vingt dernières années, sachez qu'Eset fabrique des antivirus et suites de sécurité. Elle s'est même offerte deux places (6ème avec sa suite Smart Security et 11ème avec NOD32) lors de
la dernière étude de marché OPSWAT.
Ce 16 octobre, (excusez le retard, on sortait les poubelles aux ordures.... Ou l'inverse) sortait la version 7 de ses suites grand public. Celle ci a pour but d'ajouter à leur côté léger et configurable, des outils visant à s'attaquer aux malwares et plus précisément à ceux exploitant les faiblesses des navigateurs, lecteurs PDF, clients de messagerie, aux composants de la suite Office et peut-être même de l'interface chaise/clavier. Pour se faire, apparaissent quatre nouvelles fonctionnalités ainsi que quelques améliorations (Ah ! On nous dit à l'oreillette que NOD32 n'aura pas accès au Vulnerability Shield).
-
Exploit Blocker, une nouvelle couche de protection qui va contrôler le comportement des processus du système et réagir en fonction d'un référentiel d'activités connues.
-
Advanced Memory Scanner, lié au premier, il va lui s'attaquer aux malwares essayant d'échapper à la détection et ce en les analysant dès qu'ils essaient de passer dans la mémoire.
-
Vulnerability Shield, une extension du par-feu qui fonctionne donc au niveau de la couche réseau et protège contre les utilisations abusives des vulnérabilités connues dans ces protocoles.
-
Un blocage amélioré des sites à réputation douteuse ou au contenu potentiellement indésirable.
-
Eset Live Grid, qui permet de signaler à Eset un site douteux ou un "faux positif".
-
Amélioration de l'installeur au niveau de sa vitesse et de sa fiabilité.
-
Compatibilité complète des notifications avec Metro sous Windows 8 et 8.1
-
Déplacement du "Gamer Mode" du menu "Outils" vers le menu "Ordinateur"
Sur le papier, ça sonne bien, mais est-ce que ces modules supplémentaires ne vont pas jouer sur la légèreté et l'intégrabilité de l'ensemble ? Seuls les possesseurs d'antivirus pourront nous le dire !
Ces androïdes tournent sûrement sous Unix, d'où leur efficacité contre les virus !