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Face avant

Test • Intel Core i9-10900K / i7-10700K / i5-10600K / i5-10400F & Z490 / B460
Face avant
face arrière
Aura, les LED by ASUS
Slots DDR4 et alimentation
Les VRM
Les connecteurs SATA
Le panneau arrière
Les connecteurs d'extension
UEFI mode Ez
L'advanced mode de l'UEFI

• ASUS ROG Maximus XII Extreme

Voici un petit tour d'horizon de la carte ASUS, qui nous a permis de tester (tout comme sa comparse du jour) la dixième génération Core d'Intel. Comme la plupart de ses congénères depuis des années maintenant, elle arbore un PCB noir au format moins courant E-ATX (un peu plus large) ainsi que des radiateurs dans les mêmes nuances. De grandes surfaces sont également recouvertes d'une finition miroir. Enfin un écran OLED de 2" prend place sous le socket.

 

Elle comprend 3 connecteurs d'extension PCIe : 2 au format x16 alimentés par les 16 lignes du processeur au standard 3.0. Ces dernières peuvent également être partagées avec le port DIMM.2, si ce dernier accueille le module dédié comprenant 2 ports M.2 utilisant chacun 4 liens. Il n'est donc possible d'utiliser les 2 ports que si une seule carte graphique est connectée (elle fonctionnera alors en x8). Le troisième slot PCIe au format x4 utilise quant à lui jusqu'à 4 lignes PCIe 3.0 du chipset, si les ports SATA 5/6 ne sont pas utilisés.

 

Face avant [cliquer pour agrandir]face arrière [cliquer pour agrandir]

 Face avant et arrière

 

Que serait un produit moderne sans LED RVB ? Toujours est-il que ces dernières répondent au doux nom d'Aura chez ASUS et se répartissent pour la face avant en 2 zones situées sur le radiateur du chipset et au-dessus du panneau de connexion arrière. Le dos de la carte est partiellement recouvert d'une plaque métallique, un rétroéclairage LED étant présent entre cette dernière et le PCB (à gauche sur la photo ci-dessus, à droite ci-dessous). 

 

Aura, les LED by ASUS [cliquer pour agrandir]

Les LED RGB en 2020, une nécessité !

  

Pour alimenter la bête, un traditionnel connecteur à 24 broches, ce dernier étant complété par deux connecteurs ATX 12V à 8 broches. Sur la photo, on peut également distinguer les slots DDR4 et deux connecteurs internes de type USB 3.2 Gen 2 pour 4 canaux gérés par le Z490. A noter, la présence à l'angle de la carte mère, des très pratiques switches servant à la mise en marche et réinitialisation, ainsi que l'afficheur à segments indiquant les codes du post. Des points de mesures des différentes tensions sont également présents, tout comme des switches permettant d'activer des modes particuliers (slow mode, etc.).

 

Slots DDR4 et alimentation [cliquer pour agrandir]

Le connecteur d'alimentation à 24 broches

 

Le constructeur a opté pour un étage d'alimentation à 8 phases pour le CPU, mais en installant deux VRM en parallèle par phase (soit 16 en tout). A cela s'ajoute 4 phases pour le SOC et 2 pour la mémoire. Trois radiateurs en aluminium (les deux plus gros étant raccordés entre eux par un caloduc en cuivre nickelé), sont destinés à refroidir les composants de puissance, qui ne manqueront pas d'être sollicités vu le niveau indiqué pour PL2 et en cas d'overclocking.

 

Les VRM [cliquer pour agrandir]

Les VRM dévolus au CPU

 

Côté stockage, on trouve les 6 ports SATA 6 Gbps gérés par le Z490, ASUS leur ayant adjoint les 2 autres ports fournis par une puce ASMedia dédiée. En complément pour le stockage, 2 ports M.2 (jusqu'à 2280) sont dissimulés sous le radiateur principal, les 2 autres sont accessibles par le biais du module prenant place au niveau du slot DIMM.2 (et imposant le partage des lignes PCIe dédiées à la carte graphique).

 

Les connecteurs SATA [cliquer pour agrandir]

Les connecteurs SATA

 

Du côté back panel, en sus des 2 ports USB 2.0 et 6 ports USB 3.0 (ou USB 3.2 Gen 1), on trouve 4 ports USB 3.2 Gen 2, dont deux utilisant un connecteur Type-C réversible. Tout ce beau monde est animé par le Z490, hormis les Type-C qui sont gérés par une puce ASMedia 3241. Les boutons clear CMOS et Flash-Back en mode autonome/restauration, pourront rendre de précieux services. Côté réseau, deux ports Ethernet RJ45, le premier à la norme 2.5G animé par la récente et capricieuse puce Intel I225-V, le second en 10 Gigabit Ethernet dont la gestion revient à une puce Marvell AQtion AQC107. Le Wi-Fi 6 (802.11AX) est animé de son côté via le tandem Z490 / CRF AX201, prenant aussi en charge le Bluetooth 5.1. Quant à la partie audio, ASUS l'a confiée à un Codec Realtek ALC1220, accompagné de condensateurs Nichicon, d'un DAC ES9023P d'ESS Technology et d'un amplificateur opérationnel RC4580 de Texas Instruments. 

 

Le panneau arrière [cliquer pour agrandir]

Le panneau arrière de connexions

 

Petit zoom sur les ports PCIe, en particulier ceux au format x16 : ASUS a renforcé les 2 premiers (gérés par le CPU) par un cerclage métallique, pour leurs permettre de supporter des cartes graphiques très lourdes sans s'éventrer. Le constructeur indique avoir renforcé également les points de soudure, ce qui permettrait une résistance accrue à l'arrachement. Vous remarquerez le connecteur EZ_Plug (prise Molex) au bas du PCB, permettant de fournir davantage de puissance aux ports PCIe en cas d'utilisation de plusieurs cartes graphiques. 

 

Les connecteurs d'extension [cliquer pour agrandir]

Les slots d'extension PCIe

 

Pour finir, jetons un rapide coup d’œil à l'interface graphique de l'UEFI concoctée par le constructeur. Le mode EZ (Easy) rappelle l'essentiel, même si l'on se retrouve très vite limité. Bon point pour les anglophobes, ASUS a traduit son interface en français, même si c'est parfois partiel ou approximatif.

 

UEFI mode Ez [cliquer pour agrandir]

Le mode EZ de l'UEFI d'ASUS

 

En basculant dans le mode Advanced, on découvre les traditionnels menus du constructeur, très complets et qui permettront d'affiner de (très) nombreux détails de fonctionnement. A noter que comme l'année dernière, l'AI est à la mode et apparaît là aussi dans les menus, justifiant certains overclockings automatiques, et estimant l'augmentation de tension nécessaire pour cela, le calibrage du ventilateur, etc.

 

L'advanced mode de l'UEFI [cliquer pour agrandir]

Le mode Advanced

 

Voilà, c'est fini pour cette ASUS ROG MAXIMUS XII EXTREME dont le tarif en boutique se situe au-delà des 1000€. Autant dire que bien peu auront les moyens ni même l'envie d'investir autant dans une carte mère à ce tarif, aussi réussie soit-elle. Il s'agit toutefois du flagship destiné à démontrer le savoir-faire du constructeur, nul doute à ce niveau qu'ASUS a atteint son objectif avec une carte sublime visuellement. D'autres modèles plus accessibles seront bien sûr commercialisés et dont nous vous proposerons des tests sous peu. Page suivante, passons à une seconde carte reçue pour ce test.



Un poil avant ?

Test • ASRock Z490 Taichi

Un peu plus tard ...

Microsoft propulsé dans le Top 5 des superordinateurs ?

Les 167 ragots
Les ragots sont actuellement
ouverts à tous, c'est open bar !
par Eric B., le Samedi 13 Juin 2020 à 08h08  
Merci au lecteur anonyme pour la correction XXL.
NDPM : merci d'une manière générale pour toutes ses corrections adressées !
par Eric B., le Vendredi 05 Juin 2020 à 14h32  
Je ne dis pas que c'est inutile, je précise juste que c'est une vue très parcellaire, dépendante à la fois des conditions mais aussi du type de charge. Pour avoir une vue d'ensemble du comportement, il ne faut pas se limiter amha à 3 types de charges (c'est surement bcp mieux que rien pour certains dont tu sembles faire parti ) ni à une seule configuration de tests, sinon là-aussi il sera difficile d'inférer un comportement "type" du CPU.

Ajoutes à cela le fait que l'ordonnanceur de Windows passe sa vie à balader les threads d'un cœur à l'autre, la seule option pour faire un suivi fiable, c'est de forcer l'affinité de l'application sollicitant le CPU, avec les cœurs que l'on désire monitorer. Ça ne correspond pas non plus à un comportement typique et peut induire une différentiel de performance en entravant la gestion des cœurs préférés.

Ce n'est donc pas un simple relevé, et à l'instar des jeux multi non intégrés faute de répétabilité acceptable à mon sens, je préfère me passer d'inclure une information parcellaire et pouvant potentiellement être mal interprétée. Ajouter un graphique juste pour dire "je le fais aussi", ça ne m'intéresse pas si son intérêt est discutable au niveau de précision que nous sommes actuellement capable de faire.

Ceci-dit, Nicolas est probablement capable de nous coder un outil sous Linux qui permette au moins de corriger ce dernier point, on verra donc s'il est possible de satisfaire cette requête lors du prochain protocole.
par wolfsen, le Vendredi 05 Juin 2020 à 14h06  
PS: ça fait longtemps que je n'ai pas lu un test de cpu Intel en détail car ça fait longtemps qu'ils n'éveillent plus ma curiosité quand ils sont depuis autant d'années sur la même architecture donc on sait à quoi s'attendre avant même d'avoir lu mais je suis curieux de voir comment ils vont se réveiller sur les prochaines générations.
par wolfsen, le Vendredi 05 Juin 2020 à 14h03  
par Eric B. le Vendredi 05 Juin 2020 à 06h45
Chez AMD le fonctionnement du Boost diffère d'Intel, c'est pourquoi indiquer les fréquences suivant l'usage des cœurs a moins de sens, je vais y revenir un peu plus bas.
Oui je suis conscient que la fréquence est conditionnée par les contraintes physiques, je pense d'ailleurs que c'est pour ça que TPU les teste sous différentes tâches mais il n'empêche qu'il est toujours intéressant d'avoir des références quitte à ce que la réalité dévie un peu. Par exemple sur un CPU 12 coeurs, je pense qu'il y a une différence entre un cpu qui boost à 4.6ghz sur 1-2 coeurs puis perds directement 300-400mhz quand il y en a plus et un cpu qui boost à 4.6ghz sur 8 coeurs et va perdre progressivement 300-400mhz sur les 4 derniers coeurs. En se fiant juste aux fréquences 1c et 12c, on ne peut à priori pas différencier les deux situations qui vont pourtant avoir des différences de performances significatives, surtout en jeu. Dans le premier cas, la fréquence boost masque une fréquence réelle faible alors que dans la seconde elle est "honnête" car elle sera atteinte dans pas mal de situations. Dans le premier cas, si la fréquence boost augmente, la différence de performance est souvent faible alors que dans la seconde, ça sera souvent perceptible d'où je pense l'intérêt de ma proposition car ça pourrait expliquer pourquoi certains cpu aux fréquences boost différentes ont des performances aussi proches, en particulier chez AMD.

par wolfsen, le Vendredi 05 Juin 2020 à 13h02  
par Un Ragoteur du Grand Est le Jeudi 04 Juin 2020 à 21h33
Un 2600K même fortement O/C , bride clairement une RTX 2080 , peu importe s'il y a le pci-express 3.0 ou pas.
Oui mais ça n'a pas d'importance tant que tu atteins tes 60 fps que d'autres CPU puissent en faire 200 mais en effet le 2600k souffre un peu dans les endroits assez peuplés mais je faisais plutôt référence à des zones où le gpu est à 100% et où je suis quand même en dessous de ce que je vois dans des vidéos.
par Un médecin des ragots en Île-de-France, le Vendredi 05 Juin 2020 à 10h11  
I9 10900k Der8auer commandé
par Eric B., le Vendredi 05 Juin 2020 à 06h45  
par wolfsen le Jeudi 04 Juin 2020 à 19h46
C'est cool que vous ayez rajouté la fréquence par nombre de cœurs, les derniers test que j'ai lu en détail étaient ceux des Ryzen 3700x/3900x et 3950x/9900ks où ça se limitait à la fréquence sur 1 et sur tous les cœurs.Bon sinon je viens également de comprendre pourquoi j'avais l'impression que ma 2080 super OC était un peu en dessous de la moyenne malgré que je joue en 4k 60Hz, j'ai un 2600k qui ne gère pas le PCIE 3.0 même si ma CM le peut. Enfin une excuse pour le changer !
Chez AMD le fonctionnement du Boost diffère d'Intel, c'est pourquoi indiquer les fréquences suivant l'usage des cœurs a moins de sens, je vais y revenir un peu plus bas. Mais côté Intel, nous indiquons ces valeurs depuis au moins 5 ans (pas toujours sous forme de tableau il est vrai). Concernant le 9900KS tu n'as pas le détail par cœur car justement la fréquence est systématiquement la même à 5 GHz hors dépassement de l'enveloppe de consommation autorisée, bien entendu.

Precision Boost 2 côté rouge, n'impose pas stricto sensu une fréquence par nombre de cœurs/threads sollicités, mais agit de manière opportuniste via un algorithme qui prend en compte consommation, température, intensité instantanée, etc. Ainsi, le CPU pourra adopter une même fréquence avec 3 cœurs que 5 par exemple, si dans le premier cas la charge soumise à chaque cœur est supérieure à celle du second cas (hors atteinte de la limite de consommation maximale allouée une fois encore). Donc afficher un tableau indiquant nombre de threads et fréquence n'est réellement valable que pour le logiciel testé et ce dans les conditions du test, puisque ce sera différent entre Prime95, Cinema4D, Vegas ou autres, mais aussi durant un épisode caniculaire avec un refroidisseur moyen ou en hiver avec un super watercooling, etc.
par Un Ragoteur du Grand Est, le Jeudi 04 Juin 2020 à 21h33  
par wolfsen le Jeudi 04 Juin 2020 à 19h46
Bon sinon je viens également de comprendre pourquoi j'avais l'impression que ma 2080 super OC était un peu en dessous de la moyenne malgré que je joue en 4k 60Hz, j'ai un 2600k qui ne gère pas le PCIE 3.0 même si ma CM le peut
Enfin une excuse pour le changer !
Un 2600K même fortement O/C , bride clairement une RTX 2080 , peu importe s'il y a le pci-express 3.0 ou pas.
par wolfsen, le Jeudi 04 Juin 2020 à 19h46  
par Eric B. le Jeudi 04 Juin 2020 à 06h32
Ce que tu demandes est déjà en bonne partie réalisé et ça ne date pas d'hier, puisque nous mesurons systématiquement les fréquences réelles appliquées selon le nombre de cœurs sollicités (cf. tableaux + captures d'écran CPU-Z pages 3 & 4). Ajouter un graphique pour montrer l'évolution de la fréquence au cours d'une tâche pourquoi pas, je ne suis pas sûr pour autant que ça apporte grand-chose de plus en termes d'informations, à ce que nous proposons déjà. Ce serait peut-être plus parlant pour certains par contre, la suggestion est notée en tout cas.
C'est cool que vous ayez rajouté la fréquence par nombre de cœurs, les derniers test que j'ai lu en détail étaient ceux des Ryzen 3700x/3900x et 3950x/9900ks où ça se limitait à la fréquence sur 1 et sur tous les cœurs.
Bon sinon je viens également de comprendre pourquoi j'avais l'impression que ma 2080 super OC était un peu en dessous de la moyenne malgré que je joue en 4k 60Hz, j'ai un 2600k qui ne gère pas le PCIE 3.0 même si ma CM le peut
Enfin une excuse pour le changer !
par Eric B., le Jeudi 04 Juin 2020 à 13h42  
par Etropmej en Île-de-France le Jeudi 04 Juin 2020 à 12h22
En parlant de ça, merci pour le tableau récapitulatif des fréquences par cores. Après, il y a bien une différence entre le nombre de threads utilisés (ex: 9ème et 10ème threads sur https://www.techpowerup.com/review/intel-core-i5-10500/20.html), chose que CDH ne montre pas encore. ; Mais en tout cas, merci de l'avoir fait.
L'HT (ou SMT chez AMD) consiste à utiliser 2 files distinctes pour le traitement des micro-ops par les unités d'exécutions au sein d'un même cœur. La gestion des fréquences par Turbo Boost 2.0 chez les bleus ne s'opère donc pas par thread, mais bel et bien par nombre de cœurs sollicités (tu peux d'ailleurs le vérifier aisément dans le bios), c'est pourquoi c'est ce point que nous jugeons pertinent de mesurer.

Ce qui explique par contre les variations entre threads partageant un même cœur, c'est l'impact de la limite de consommation. En effet, comme l'HT augmente le taux de "saturation" des ressources, il génère une consommation supérieure en général. Lorsque cette dernière excède l'enveloppe allouée, le CPU réagit alors en abaissant fréquence et tension de manière extrêmement rapide en jonglant entre les cœurs à ce niveau, pour revenir dans l'enveloppe allouée. C'est pourquoi tu notes toi même que ce comportement survient de manière notable (si tant est qu'1,5% puissent être considérés comme tel) qu'aux 9/10ème threads dans cet exemple (6 threads conduisent par exemple à des fréquences plus élevées que 5 ici), car avec un tel parallélisme on arrive justement au limite de l'enveloppe allouée pour le CPU testé et cet usage.

Tu comprendras donc aisément que selon le type de tâches soumises et la façon dont l'ordonnanceur de Windows décide de les affecter aux ressources ("cœurs" virtuels), tu peux ou pas avoir des variations de fréquence entre couple de threads, c'est pourquoi il me parait plus pertinent de se borner au comportement par cœur.
par Etropmej en Île-de-France le Jeudi 04 Juin 2020 à 12h22
D'ailleurs vous déterminez les fréquences avec une longue session de Prime95 j'imagine ?Pour une évolution de la fréquence au cours d'une tache, idem, je te rejoins sur le fait que ce ne sera pas très utile. Autant attendre "3 plombes" et prendre la fréquence la plus basse atteinte pour avoir un chiffre totalement fiable.A la place, je propose d'avoir les fréquences par threads sans AVX et avec AVX (1, 2 et 512. Le plus récent sera utilisé pour avoir la plus basse fréquence garantie), voire si possible carrément voir les fréquences no AVX, AVX, AVX 2 et AVX 512 séparés.
Plusieurs logiciels sont utilisés pour noter le comportement, je préfère OCCT, mais c'est un choix personnel. Par contre, des tâches plus "réelles" sont aussi réalisées pour voir en pratique ce que cela donne avec un long rendu ou un calcul d'IA.
par Etropmej en Île-de-France le Jeudi 04 Juin 2020 à 12h22
Vous n'avez pas carte mères estampillées "Gen 3" en Z68 ou une carte mère Z77 dans les cartons ?Après, même le PCIe 3.0 x8 (soit PCIe 2.0 x16) bride une RTX 2080 Ti que de 3% au pire des cas: https://www.techpowerup.com/review/nvidia-geforce-rtx-2080-ti-pci-express-scaling/6.html.
Si j'ai bien (très capricieuse ceci-dit), mais la carte mère ne transformera pas les lignes PCIe 2.0 d'un CPU Sandy Bridge, en 3.0. Et j'espère que nous aurons mieux qu'une 2080 Ti pour le prochain protocole
par Etropmej en Île-de-France le Jeudi 04 Juin 2020 à 12h22
Par contre pour le protocole CPU 2020, ne vaudrait-il pas mieux utiliser que des logiciels pouvant utiliser AVX, AVX2 et AVX512 seulement si le CPU le gère ? Voire même sans AVX étant donné que chez Intel ça joue énormément sur la fréquence des CPUs.Ca permettrait même de remonter les tests jusqu'aux CPUs Nehalem, LGA 1366 prenant des hexa cores qui brideront beaucoup les GPUs.
Je ne suis pas sûr de bien comprendre ce que tu veux dire dans ce dernier paragraphe, mais tel que je l'entends, oui l'idéal est bien entendu d'utiliser des logiciels qui peuvent exploiter les différentes intégrations d'AVX si existantes, mais capables aussi de fonctionner sans le cas échéant. C'est loin d'être généralisé, bien souvent lorsqu'il n'y a pas de support pour l'AVX, le logiciel ne s'exécute tout simplement pas. On se retrouve alors avec l'absence de score pour certaines références, rendant l'indice et donc la comparaison "moyenne" totalement inéquitable. Bref ce n'est pas si simple de trouver exactement ce que l'on souhaite, qui corresponde aussi à un usage pratique, permette de remonter aussi loin que possible dans l'histoire des CPU, tout en n'excluant pas les apports des derniers ajouts au jeu d'instructions, vu leur apport dans certains domaines.
par Etropmej en Île-de-France, le Jeudi 04 Juin 2020 à 12h22  
par Eric B. le Jeudi 04 Juin 2020 à 06h32
En parlant de ça, merci pour le tableau récapitulatif des fréquences par cores. Après, il y a bien une différence entre le nombre de threads utilisés (ex: 9ème et 10ème threads sur https://www.techpowerup.com/review/intel-core-i5-10500/20.html), chose que CDH ne montre pas encore.
Mais en tout cas, merci de l'avoir fait.

D'ailleurs vous déterminez les fréquences avec une longue session de Prime95 j'imagine ?

Pour une évolution de la fréquence au cours d'une tache, idem, je te rejoins sur le fait que ce ne sera pas très utile. Autant attendre "3 plombes" et prendre la fréquence la plus basse atteinte pour avoir un chiffre totalement fiable.

A la place, je propose d'avoir les fréquences par threads sans AVX et avec AVX (1, 2 et 512. Le plus récent sera utilisé pour avoir la plus basse fréquence garantie), voire si possible carrément voir les fréquences no AVX, AVX, AVX 2 et AVX 512 séparés.
par Eric B. le Mercredi 03 Juin 2020 à 05h50
Vous n'avez pas carte mères estampillées "Gen 3" en Z68 ou une carte mère Z77 dans les cartons ?

Après, même le PCIe 3.0 x8 (soit PCIe 2.0 x16) bride une RTX 2080 Ti que de 3% au pire des cas: https://www.techpowerup.com/review/nvidia-geforce-rtx-2080-ti-pci-express-scaling/6.html

Par contre pour le protocole CPU 2020, ne vaudrait-il pas mieux utiliser que des logiciels pouvant utiliser AVX, AVX2 et AVX512 seulement si le CPU le gère ?
Voire même sans AVX étant donné que chez Intel ça joue énormément sur la fréquence des CPUs.

Ca permettrait même de remonter les tests jusqu'aux CPUs Nehalem, LGA 1366 prenant des hexa cores qui brideront beaucoup les GPUs.
par Eric B., le Jeudi 04 Juin 2020 à 06h32  
Ce que tu demandes est déjà en bonne partie réalisé et ça ne date pas d'hier, puisque nous mesurons systématiquement les fréquences réelles appliquées selon le nombre de cœurs sollicités (cf. tableaux + captures d'écran CPU-Z pages 3 & 4). Ajouter un graphique pour montrer l'évolution de la fréquence au cours d'une tâche pourquoi pas, je ne suis pas sûr pour autant que ça apporte grand-chose de plus en termes d'informations, à ce que nous proposons déjà. Ce serait peut-être plus parlant pour certains par contre, la suggestion est notée en tout cas.