Test • TITAN X (Pascal) |
————— 09 Novembre 2016
Test • TITAN X (Pascal) |
————— 09 Novembre 2016
Afin de reproduire une mise en situation de nos cartes nous permettant de les départager au mieux en réduisant les autres points de limitation des moteurs 3D, nous avons opté pour une configuration très musclée, détaillons cette dernière :
Nous avons réuni pour ce test le panel de cartes suivantes avec entre parenthèses les fréquences GPU et mémoire maximales en MHz. Pour rappel, la fréquence GPU peut varier largement à la baisse pour les cartes dotées d'un "boost" par rapport à la valeur indiquée, selon la température ou la consommation. Cette indication max n'est donc là qu'à titre purement informative et n'indique pas le niveau de fréquence réelle des cartes durant les tests.
Sapphire R9 Fury X (1050/500)
NVIDIA GeFORCE GTX 980 Ti (1202/1753)
PNY GTX 980 Ti XLR8 OC (1329/1753)
NVIDIA GeFORCE GTX TITAN X (1202/1753)
NVIDIA GeFORCE GTX 1080 Founders Edition (1898/1251)
Gigabyte GTX 1080 G1 Gaming (1961/1251)
NVIDIA TITAN X (1847/1251)
Pour déterminer la pertinence de la TITAN X (Pascal), nous avons décidé de lui opposer sa devancière à savoir la TITAN X basé sur le GM200 Maxwell, mais aussi la 980 Ti de référence qui reprend la même puce très légèrement bridée, à l'instar de la star du jour. Nous ajoutons bien évidemment la carte la plus rapide du caméléon jusqu'alors, à savoir la GTX 1080 en Founders Edition mais aussi dans un modèle alternatif en provenance de Gigabyte. Enfin, nous avons inclus la carte mono GPU la plus rapide des rouges à savoir la Fury X, puisque les RX 4xx ne la devancent toujours pas.
Petit aparté concernant GPU Boost et Powertune : nous avons indiqué pour information les fréquences maximales atteignables par les cartes à notre disposition, notons qu'en pratique lors d'une séance de jeu soutenue, l'augmentation de température et/ou la consommation atteignant la limite fixée par les constructeurs, vont atténuer les différences entre exemplaires d'une même carte. C'est pourquoi nous veillons "à bien faire chauffer" les cartes entre chaque session de benchs et nous ne commençons les mesures de performances des cartes disposant de ces mécanismes de contrôles que lorsque la température de fonctionnement se stabilise impliquant une baisse des fréquences pour celles ne disposant pas d'un refroidisseur capable de maintenir (avec les réglages par défaut) une température inférieure à ces seuils sous forte charge (visible par une chute notable des fps mesurée via FRAPS). Lorsque ce n'est pas possible (comme dans le cas de benchs "automatisés"), nous répétons ces derniers jusqu'à atteindre ces températures lors des passes suivantes et ne comptabilisons les résultats qu'à partir de ce moment.
Windows 10 (b1607) 64-bit
AMD Catalyst Crimson 16.11.2 HotFix
NVIDIA GeFORCE 375.70 WHQL
Nous utilisons Windows 10 dans sa version 64-bit et dernière build stable afin d'exploiter une quantité conséquente de mémoire vive et ne pas limiter les jeux qui en auraient besoin à ce niveau. Cela nous permettra également d'inclure les jeux DX12 qui ne seront supportés que par ce dernier. Les dernières mises à jour de l'OS et de DirectX sont bien sûr installées. Côté pilotes, nous utilisons les derniers disponibles au moment des mesures (NVIDIA a depuis sorti les 375.76 HotFix corrigeant un point n'impactant pas les performances de nos cartes) et destinés respectivement aux RADEON et GeFORCE. Les réglages suivants sont utilisés pour les cartes du caméléon :
Réglages pilotes GeFORCE - Cliquer pour agrandir
Notez que le nouveau panneau de contrôle d'AMD introduit avec les pilotes Crimson est une franche réussite en termes d'ergonomie et de réactivité. L'avantage à ce niveau qui était plutôt du côté du caméléon a, là, clairement changé de camp, voici les réglages retenus :
Réglages pilotes RADEON - Cliquer pour agrandir
La configuration est installée dans un boîtier Cooler Master Cosmos II disposant d'un ventilateur 200 mm en façade, un 140 mm à l'arrière et trois 120 mm au sommet, tous étant raccordés au rhéobus intégré positionné sur la vitesse intermédiaire et couplés à des adaptateurs LNA de Noctua. Pour les tests à proprement parler, les résultats ont été obtenus via FRAPS 3.5.99 ou PresentMon sur un déplacement reproductible et correspondent à la moyenne de 3 "passes" minimum.
Lorsque le jeu inclut un outil de bench représentatif et fiable (répétitivité du test), nous pouvons également l'utiliser (toujours 3 "passes" minimum). Le panel de test comprend 20 jeux afin de tester l'efficacité de nos cartes dans diverses situations. Compte tenu du segment visé, nous avons retenu la définition 2560 x 1440 qui sied à cette gamme, mais aussi le 3840 x 2160 puisqu'il est de plus en plus répandu sur les moniteurs dédiés gaming et qu'il constitue un défi pour les cartes actuelles. Le filtrage anisotropique (AF) est systématiquement activé dans les jeux. Enfin, les mesures sont réalisées avec des niveaux de qualité précisés lors de la description de chaque jeu testé. C'est fini pour le blabla, passons aux mesures de performance.
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