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Intel et les architectures émergentes : où qu'on va, chef ?

Alors qu'IBM se lance ouvertement dans la course au quantique, les autres fabricants de puces siliconées siliciumées (anglicisme, quand tu nous tiens !) doivent bien montrer du zèle pour faire face à cette concurrence croissante.

 

Récemment, nous vous dressions un bilan orienté IA de la firme, rebelote avec une interview signée IEEE (prononcez "i trois e" dans les milieux restreints pour gagner +10 en pédanterie). Au programme : les principales lignes de recherche de la firme bleue en ce qui concerne tous les bouzins qu'on ne verra au mieux qu'à moyen terme sur le marché - et pas forcément grand public.

 

Pas de grande surprise côté quantique, Intel développe en interne son processeur à 49 qbits, on attend plus de nouvelles à son sujet d'ici quelques mois, mais les choses suivent leur cours. Actuellement, le bouzin est opérationnel, ce qui signifie que la firme en est à l'élaboration de circuits glues permettant de le relier à des serveurs plus classiques, ainsi qu'à la mise à l'échelle du procédé afin d'atteindre, à terme, le million de qbits - rien que ça !

 

intel ia inside cdh

 

 

Cependant, ce n'est pas la seule piste explorée : des puces de technologie plus classiques sont également à l'étude, mais basées sur des nouveaux paradigmes de programmation. Il est question en effet de puces neuromorphiques, c'est-à-dire imitant la structure de cerveaux (ce qui diffère légèrement des accélérateurs de réseau de neurones qui eux cherchent à maximiser la vitesse d'exécution d'une structure mathématique fixée basée sur du calcul matriciel, également tirée d'observations biologiques) et de puces intégrant des calculs de probabilités, elles aussi au centre des réseaux de neurones.

 

Tout cela semble bien prometteur, mais Intel tient à rassurer : il s'agit d'une activité complémentaire de son expertise en matière de processeurs x86, et non un remplaçant (ou tout du moins, ce n'est pas à l'ordre du jour). Malgré tout, on reste quelque peu sur notre faim : le matériel pour réseau de neurones, c'est bien beau, mais encore faut-il un argument réellement convaincant pour faire migrer les utilisateurs vers ces nouveaux "besoins". Alors, convaincus ?

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Les 7 ragots
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ouverts à tous, c'est open bar !
par Nicolas D., le Vendredi 08 Mars 2019 à 16h58  
par Un ragoteur qui draille en Île-de-France le Vendredi 08 Mars 2019 à 04h17
Très bien qu'on aille plus loin que ce semblant de IA qui se base sur calculs matriciels de tenseurs qui n'ont en fait rien avoir avec l'IA.
par Unragoteursansespace en Colombie-Britannique, le Vendredi 08 Mars 2019 à 05h17  
Tellement aucun intérêt dans cet companie qui fourgue des proco qui ont pas évolué depuis 5 ans toujour au prix fort.

Ils seront de toute façon bientôt remplace par des puces ARM et la ca va faire mal.
par Un ragoteur qui draille en Île-de-France, le Vendredi 08 Mars 2019 à 04h17  
Très bien qu'on aille plus loin que ce semblant de IA qui se base sur calculs matriciels de tenseurs qui n'ont en fait rien avoir avec l'IA.
par Un rat goth à l'heure en Auvergne-Rhône-Alpes, le Vendredi 08 Mars 2019 à 01h54  
par cpu en Auvergne-Rhône-Alpes le Jeudi 07 Mars 2019 à 20h49
Je pense au contraire que ce besoin existe pour les entreprises.
Toute les entreprises rajoute des "IA" dans leurs logiciels : un logiciel de gestion des transport capable de prédire les pics, un logiciel de monitoring capable de prédire les pannes...etc.
Apres derriere ce terme, c'est juste des algos que n'importe qui peut utiliser en 3 lignes de coede sous python.
Que se soit des algos comme une classification bayésienne, un réseau de neurone pour de l'apprentissage, ou une algo de sélection comme un algorithme génétique c'est extrêmement simple a utiliser et a manipuler et cela apporte une grande valeur ajouté dans la pluspart des logiciels.

Pour le consommatuer final on peut citer le cas des logiciels photos dans les smartphones, une IA permet d'optimiser les paramètres de l'appareil afin d'avoir le meilleur cliché possible.

Pour les entreprise qui doivent traiter des To de données avoir un hardware optimisé est indispensable, pour le particulier par contre non je ne pense pas
L'intelligence artificielle n'existe pas!

source:
https://www.journaldunet.com/solutions/dsi/1420876-l-intelligence-artificielle-n-existe-pas/
par TwoFace, le Jeudi 07 Mars 2019 à 22h40  
A ce rythme la dans 20 ans nous aurons ce résultat la :

Vive la puissance CPU
par cpu en Auvergne-Rhône-Alpes, le Jeudi 07 Mars 2019 à 20h49  
Je pense au contraire que ce besoin existe pour les entreprises.
Toute les entreprises rajoute des "IA" dans leurs logiciels : un logiciel de gestion des transport capable de prédire les pics, un logiciel de monitoring capable de prédire les pannes...etc.
Apres derriere ce terme, c'est juste des algos que n'importe qui peut utiliser en 3 lignes de coede sous python.
Que se soit des algos comme une classification bayésienne, un réseau de neurone pour de l'apprentissage, ou une algo de sélection comme un algorithme génétique c'est extrêmement simple a utiliser et a manipuler et cela apporte une grande valeur ajouté dans la pluspart des logiciels.

Pour le consommatuer final on peut citer le cas des logiciels photos dans les smartphones, une IA permet d'optimiser les paramètres de l'appareil afin d'avoir le meilleur cliché possible.

Pour les entreprise qui doivent traiter des To de données avoir un hardware optimisé est indispensable, pour le particulier par contre non je ne pense pas
par Goolimar, le Jeudi 07 Mars 2019 à 20h35  
J'attend le résultat du passage de Jim Keller chez eux,on a vu le résultat que ça a permit chez AMD. Et aussi chez Apple, parce que les processeurs ARM Ax c'est lui aussi.