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Google prévoit de quoi visiter des monuments historiques en VR

Si la VR est un outil bien pratique pour l'immersion dans le monde des jeux vidéos, ce n'est pas la seule application possible. En effet, d'autres univers tel le cinéma peuvent également être transposés en réalité virtuelle, mais ce n'est pas ce qui a poussé Google à un partenariat avec CyArk, mais la sauvegarde du patrimoine humain. L'organisation à but non lucratif secondement nommée a été fondée en 2003 en vue de réaliser cet objectif, et s'applique à scanner en 3D des bâtiments ou sites historiques afin de les proposer en libre accès sur leur site.

 

Les conditions d'utilisations sont néanmoins restreintes : il faut préalablement avoir rempli un questionnaire de motivation, et il est (de manière assez logique) interdit de reprendre ces modèles dans un but commercial. Une application, MasterWorks: Journey Through History,, 100% gratuite (à condition de posséder un casque VR) a déjà été sortie, permettant de visualiser quatre lieux dont le Mont Rushmore, une ancienne citée thaïlandaise ou encore les collines du Colorado. 

 

Les données sont collectée par drones et via une technologie de scan laser Light Detection and Ranging (LIDAR). Ainsi, les sites ne sont pas abîmes, et immortalisés ; évitant ainsi toute dégradation liée à une surabondance de touristes et conservant une bonne partie des informations portée par le bâtiment en cas de destruction, une guerre ou un incendie étant parfois vite arrivé.

 

Il est en tout cas très positif de voir le côté historique utiliser la pointe des nouvelles technologie pour se raconter lui-même et non servir de toile de fond à une industrie vidéo-ludique pas toujours soucieuse de son exactitude. (Source : RoadToVR)

 

 

Pour baver, la liste des projets de bâtiments à numériser est par ici !
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Les 4 ragots
Les ragots sont actuellement
ouverts à tous, c'est open bar !
par Jemporte, le Dimanche 22 Avril 2018 à 13h36  
L'embrouille est simple. Google va essayer de s'approprier les droits par ce subterfuge et en tirer des bénéfs. Soit ils paient rien, soit ils vont essayer de payer le minimum, soit vont essayer de se faire payer : en gros le monument qui refuse sera banni des références Google moteur et carto ou rétrogradé.
Pas tout de suite hein, à petit feu.
Microsft avait bien tenté un coup en offrant gratuitement de visiter les musées du monde, dont M$ ferait le site web d'exploration... sauf qu'en tout petit il y a avait marqué "pertes des droits de copyright ... ad eternam en faveur de M$. Je crois que pour les musées français qui n'y avaient pas prêté attention ça s'est résolu à l'amiable.
par Un médecin des ragots embusqué, le Jeudi 19 Avril 2018 à 08h31  
Autant je salue l'initiative de sauvegarder le patrimoine historique autant venant de Google ça m'étonne de ne pas voir où est l'embrouille.
par Nicolas D., le Jeudi 19 Avril 2018 à 08h01  
par Un ragoteur qui aime les embusqué, le Jeudi 19 Avril 2018 à 06h33
Ils n'utilisent pas leur technologie Lightfield ?
http://store.steampowered.com/app/771310/Welcome_to_Light_Fields/
Possible, mais comme c'est un "simple" soutient à un organisme, pas sûr qu'ils aient accès à toutes les technos du groupe.
par Un ragoteur qui aime les embusqué, le Jeudi 19 Avril 2018 à 06h33  
Ils n'utilisent pas leur technologie Lightfield ?
http://store.steampowered.com/app/771310/Welcome_to_Light_Fields/