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Gamme Ryzen 3000

Test • Threadripper 3960X/3970X & Core i9-10980XE
Gamme Ryzen 3000
trx40 t
socket TRX4
Plateforme TRX40
interfaces trx40 t

• Ryzen Threadripper 3000

Pour rappel, AMD a commercialisé début juillet ses Ryzen 3000 animés par Zen 2, révision majeure de l'architecture lancée en 2017, nous vous invitions donc à lire ou relire les dossiers concernés si vous désirez en apprendre davantage sur cette dernière. À noter tout de même que les 3200G et 3400G n'utilisent pas cette dernière itération, mais Zen+, optimisation de l'original. Ils sont également produits en 12 nm, un nœud de gravure plus ancien que le 7 nm utilisé pour les autres Ryzen 3000, tout du moins leur(s) CCD. Il en est de même pour l'Athlon 3000G dont nous vous proposerons bientôt un test. À partir du Ryzen 5 3600, on bascule dans les "véritables" nouveautés avec 2 hexacores, 2 octocores, un dodécacœur et enfin le Ryzen 9 3950X à 16 cœurs. Les rouges complètent par le haut cette gamme avec les Threadripper série 3000 qui comprendront entre 24 et 64 cœurs actifs !

 

Gamme Ryzen 3000 [cliquer pour agrandir]

La gamme Zen 2 complétée par les Threadripper de cette génération

 

Vous noterez qu'AMD conserve la série 2000 Threadripper, cette dernière perdurera jusqu'à épuisement des stocks. Pour concevoir ses nouveaux processeurs, AMD réutilise la recette de son succès Zen 2, à savoir l'approche par chiplet permettant de mixer les procédés de fabrication selon la nature des éléments à graver. Ainsi, les Threadripper 3000 s'articulent, tout comme la gamme professionnelle Epyc de seconde génération, autour d'un énorme cIOD de 416 mm² et 8,34 Milliards de transistors, gravés par Global Foundries via son procédé 12 nm. Cette complexité est liée aux interfaces prises en charge, en particulier les lignes PCIe 4.0 et les canaux mémoire. Si 8 sont bel et bien présents, seuls 4 seront activés sur la plateforme Threadripper afin de laisser quelques exclusivités aux puces professionnelles bien plus onéreuses.   

 

tr 4ccd

Sous l'IHS d'un Threadripper 3000

 

A côté du cIOD, on retrouve pas moins de 4 CCD, comprenant chacun 3,9 Milliards de transistors. L'utilisation du procédé de fabrication 7 nm de TSMC permet toutefois de limiter la taille de chaque chiplet de ce type à 74 mm². Tout ce petit monde est bien entendu toujours interconnecté à l'aide de l'Infinity Fabric. Par rapport aux générations précédentes, cette approche permet de compenser les soucis d'accès aux contrôleurs mémoire pour les puces intégrant plus de 16 cœurs dans la gamme Threadripper. En effet, du fait de l'utilisation de 4 canaux mémoire sur les 8 possibles au niveau du socket TR4, seul 1 die sur 2 a un accès direct à la mémoire dans le cas des WX, ce qui pénalise grandement les performances dans certains cas du fait de cet environnement NUMA (Non Uniform Access Memory). Ce problème n'existe plus sur cette génération, car les contrôleurs mémoire étant regroupés au sein de l'unique cIOD, n'importe quel cœur présent dans les CCD peut donc y accéder de manière uniforme, indépendamment du nombre de canaux actifs. 

topology

Organisation interne des Threadripper 3000

 

Si d'aventure 32 cœurs s'avéraient insuffisants, il est toujours possible d'augmenter le nombre de CCD interconnectés au cIOD. C'est précisément ce qu'a fait AMD avec ses Epyc Rome les plus onéreux, et petite (1/2) surprise du chef, il sera possible d'acquérir un Threadripper 3990X en 2020 intégrant lui aussi 64 cœurs via 8 CCD ! Les rouges ne précisent pas si une version 48 cœurs est également prévue (3 cœurs actifs / CCX), toutefois la numérotation retenue pour le flagship laisse cette possibilité (3980X). Une première dans tous les cas sur plateforme grand public, le tarif du 3970X à 32 cœurs (1999 $) ne laisse par contre aucun doute quant au montant exorbitant qu'il sera nécessaire d'acquitter pour profiter d'un tel privilège.

 

tr 8ccd

8 CCD pour atteindre jusqu'à 64 cœurs !

 

Et ce n'est pas le seul prix dont il faut s’acquitter : AMD avait fait tout son possible pour assurer la compatibilité des processeurs Zen 2 AM4 avec les cartes mères des générations précédentes, ce n'était toutefois pas possible sur cette gamme. En cause le câblage mémoire des pins du socket qui aurait nécessité un re-routage par trop complexe sur le packaging CPU, déjà méchamment chargé. La production des Threadripper étant qui plus est commune avec Epyc, cela aurait encore complexifié la chose s'il avait fallu dissocier le packaging. Voyons donc la plateforme retenue pour cette nouvelle génération de Threadripper.

 

 

• AMD TRX40 & Socket TRX4

Si le changement de socket est toujours un moment très désagréable pour les acquéreurs des précédentes plateformes d'une marque, il s'avère parfois indispensable. C'est le cas ici du fait de l'interconnexion mémoire comme expliqué précédemment. Il s'accompagne toutefois d'un bénéfice indéniable qu'est la prise en charge du PCIe 4.0 au niveau de la liaison CPU-chipset. AMD ne s'arrête pas là, puisqu'il double également le nombre de lignes dédiées à cet effet, passant de 4 à 8. Cela permet ainsi de proposer une bande passante quadruplée par rapport au X399, donnant ainsi de la marge aux interfaces qui seront raccordées au TRX40, puisque c'est son nom. C'est une la-palisse, mais ce recâblage du socket rend incompatible l'usage des Threadripper 1000/2000 sur TRX40, mais aussi de la série 3000 sur X399/TR4.

 

trx40 t [cliquer pour agrandir]

Une nouvelle plateforme pour les Threadripper 3000

 

Nous avons utilisé le terme recâblage à dessein, puisque si le socket utilise une nouvelle dénomination à savoir TRX4, il est physiquement identique avec toujours 4094 points de contacts. Le mécanisme de verrouillage à l'aide d'un petit outil dynamométrique est toujours présent, tout comme le rail permettant de glisser le processeur afin de faciliter sa mise en place sans détériorer les pins malgré le poids de ce monstre. Naturellement, les refroidisseurs destinés au socket TR4 restent compatibles avec son successeur.

 

socket TRX4 [cliquer pour agrandir]

Le nouveau socket TRX4

 

Si le socket n'apporte en définitive aucune nouveauté physique, le chipset TRX40 est lui bien différent du X399. Avant de le détailler, voyons d'abord ce que les Threadripper 3000 embarquent nativement dans leur monstrueux chiplet cIOD : un contrôleur mémoire à 8 canaux (4 actifs pour rappel), officiellement jusqu'à 3200 MHz même si des barrettes adaptées permettent d'atteindre au-delà sans souci. On notera tout de même qu'un ratio d'1/2 entre l'Infinity Fabric et la mémoire est toujours appliqué lorsque la fréquence de cette dernière excède 3733 MHz.

 

Toujours au sein du cIOD, 48 lignes PCIe sont disponibles, par contre elles passent cette fois au standard 4.0, doublant ainsi le débit par rapport à la génération précédente. De quoi câbler intégralement 3 cartes graphiques en 16x. A cela s'ajoutent les 8 lignes réservées au TRX40 ainsi que 8 autres (2 x 4) flexibles (au choix un SSD NVMe en 4x ou un NVMe 2x + 2 ports SATA ou 4 SATA ou câblage de connecteurs PCIe, etc.). Pour finir avec la prise en charge d'interfaces par le CPU, ce dernier propose 4 ports USB 3.2 Gen 2 pour faire bonne figure. Il est temps de passer aux apports du TRX40 cette fois.

 

Plateforme TRX40 [cliquer pour agrandir]

Diagramme logique du TRX40

 

Difficile de ne pas comparer ses capacités à celles du X570 puisque les deux proposent 4 ports USB 2.0, 8 USB 3.2 Gen 2, ainsi que 4 SATA 6 Gbps et 8 lignes PCIe 4.0. À cela s'ajoutent jusqu'à 8 lignes PCIe supplémentaires scindées en 2 blocs (Pick One dans le schéma ci-dessus) de 4 : les fabricants de cartes mères pouvant les affecter comme bon leur semble (4 SATA 6 Gbps ou 1 port PCIe 4X (4.0) ou 4 ports PCIe 1X (4.0)). Selon la configuration retenue, le chipset gravé en 14 nm, peut consommer jusqu'à 15 W, nécessitant en conséquence un refroidissement actif durant sollicitation sévère.

 

Les 2 cartes mères à notre disposition ont toutefois adopté un comportement radicalement différent : une étant souvent audible au contraire de la seconde. Tout cela devrait encore mûrir quelque peu du côté UEFI, comme nous l'avons constaté sur X570, avec une gestion acoustique bien plus adaptée au bout de quelques semaines. En résumé, la plateforme HEDT d'AMD propose une bande passante monstrueuse à destination des périphériques, de quoi convenir aux workstations les plus gourmandes. Un brin taquins, les rouges en profitent pour pointer du doigt les apports de leur plateforme face à la concurrence.  

 

interfaces trx40 t [cliquer pour agrandir]

Débit des interfaces sur plateformes HEDT

 

Ce que ne dit pas AMD par contre, c'est que le tarif des cartes mères TRX40 va excéder les 400 € pour les premiers prix et les plus richement dotées pourraient atteindre le millier d'euros. Il est donc plus qu'indispensable de disposer d'arguments sérieusement convaincants pour justifier ces montants astronomiques... Voilà c'est terminé pour cette partie, quid des processeurs reçus à présent ?



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ouverts à tous, c'est open bar !
par Un ragoteur de transit en Auvergne-Rhône-Alpes, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 16h16  
par cabou83, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 02h07
Dire qu'entre Zen et Zen2 AMD n'a augmenté que le cache L3 est quand même
bien réducteur, y a eu bien plus que ça...

Il faut aussi prendre en compte qu'AMD a du faire face à des limitations
pour conserver l'AM4 sur Zen2, il sera intéressant de voir les véritables
apports qu'AMD proposera quand il imposeront un nouveau socket (AM5?) qui
normalement devrait intervenir des Zen4, Zen 3 devrait rester en AM4, aux
dernières nouvelles.
Et pourtant même si l'architecture Zen a subie une légère révision interne
à travers Zen 2, l'inflation du cache semble être une tendance durable...

source:
https://www.anandtech.com/show/14525/amd-zen-2-microarchitecture-analysis-ryzen-3000-and-epyc-rome
https://www.tomshardware.fr/amd-threadripper-3990x-64-coeurs-confirmes-pour-2020-avec-288-mo-de-cache/
par Un adepte de Godwin embusqué, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 12h54  
Rolalala cette claque
Cela change des +10% de perf à chaque génération de I7...
J aimerais bien voir des bench avec des logiciels d empilement de photos astro comme siril
En tout cas, hâte de voir les perfs de la future version 64 coeur.
Mais bon , le prix ..
par cabou83, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 02h07  
par Un ragoteur qui aime les BX en Auvergne-Rhône-Alpes, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 01h42
Pour compléter mon propos, j'estime que depuis le départ de Jim KELLER,
AMD a repris ses travers partisan du moindre effort en gonflant la taille
du cache L3 pour son architecture Zen 2 tandis que ces millions de
transistors auraient pu être alloués de manière plus judicieuse en offrant
plus de granularité à la gestion des caches en introduisant par exemple
un cache L4 dans le chipset limitant les accès entre CCD (cf. cache L3).
Dire qu'entre Zen et Zen2 AMD n'a augmenté que le cache L3 est quand même bien réducteur, y a eu bien plus que ça...
Il faut aussi prendre en compte qu'AMD a du faire face à des limitations pour conserver l'AM4 sur Zen2, il sera intéressant de voir les véritables apports qu'AMD proposera quand il imposeront un nouveau socket (AM5?) qui normalement devrait intervenir des Zen4, Zen 3 devrait rester en AM4, aux dernières nouvelles.
par cabou83, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 01h54  
par Thibaut G., le Jeudi 28 Novembre 2019 à 00h05
Je rêve où t essaye de nous convaincre que bulldozer était une réussite endormie ? Peut-être parce que tu en as eu un, mais oser dire que boldo a posé les vases de ryzen faut oser
Mon commentaire est suffisamment clair pour comprendre qu'en rien je fais l'éloge des bulldozer, la n'est pas la question de toute façon.
Certes AMD est partie d'une feuille blanche pour Zen mais ça leur empêche pas d'apprendre du passé et d'en tirer des idées, et clairement je pense que Keller s'en est inspiré même si c'est qu'a 5%.
Je dis juste qu'aujourd'hui, si AMD n'était pas partie sur une archi modulaire avec les FX mais nous avez sortie des PhenomIII avec SMT, qu'en serait il des cores ZEN 2, les CCX, les CCD, le multi die etc?
Quand on voit Intel qui est resté sur une archi plus classique depuis plus d'une décennie, et qui aujourd'hui galère à suivre le nombre de core total car les interconnexion pose problème, on peut se poser la question.
Au final je pense que Keller a eu une approche comme ça : "Bon l'archi modulaire permet de faire des 8 core pas trop gros en 32nm, c'est l'avantage, mais lier le L2 sur 2 core est trop limitant, on va rester sur du cache L2 par core, un décodeur pour 2 core c'était pas ouf, passer à 2 par modules était déjà mieux sur Steamroller, l'idée de regrouper 2 core n'est peut être pas idéal, passons à une unités de 4 core indépendants plutôt, et reliable avec d'autre unité à la manière des consoles ps4/one via le Fabric, schématisons tous ça..."
D'où la déclaration d'AMD de ZEN est une fusion de Bulldozer + Puma+.
par Un ragoteur qui aime les BX en Auvergne-Rhône-Alpes, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 01h42  
par Thibaut G., le Jeudi 28 Novembre 2019 à 00h05
...
Pour compléter mon propos, j'estime que depuis le départ de Jim KELLER,
AMD a repris ses travers partisan du moindre effort en gonflant la taille
du cache L3 pour son architecture Zen 2 tandis que ces millions de
transistors auraient pu être alloués de manière plus judicieuse en offrant
plus de granularité à la gestion des caches en introduisant par exemple
un cache L4 dans le chipset limitant les accès entre CCD (cf. cache L3).
par Un champion du monde en Auvergne-Rhône-Alpes, le Jeudi 28 Novembre 2019 à 00h56  
par Thibaut G., le Jeudi 28 Novembre 2019 à 00h05
Je rêve où t essaye de nous convaincre que bulldozer était une réussite
endormie ? Peut-être parce que tu en as eu un, mais oser dire que boldo
a posé les bases de ryzen faut oser
Il n'a pas tort concernant le concept de modules initié sur Bulldozer
puis repris par Zen et ses dérivés, cependant un changement de direction
notable s'est produit pour l'architecture Zen: la gestion du cache L2 est
désormais exclusive pour chaque coeur ce qui favorisait particulièrement
les architectures Intel si ma mémoire ne me fait pas défaut.
par Thibaut G., le Jeudi 28 Novembre 2019 à 00h05  
Je rêve où t essaye de nous convaincre que bulldozer était une réussite endormie ? Peut-être parce que tu en as eu un, mais oser dire que boldo a posé les vases de ryzen faut oser
par cabou83, le Mercredi 27 Novembre 2019 à 22h04  
par Thibaut G., le Mardi 26 Novembre 2019 à 17h29
elle était même excellente !
Sans Bulldozer, pas sur qu'AMD aurait réussi a faire un 3990X à 64 core en multi die, aussi réussi. Pour moi la famille Bulldozer c'est un peu la version Alpha/Beta raté des CCX et CCD qu'on connait sur Zen aujourd'hui. D'ailleurs AMD a réutilisé le mot "modules" pour présenter les CCX de Zen.
Les FX sont ce qu'ils sont, à l'époque ils étaient bons face à Intel en calcul entier d'ou leurs bonnes performances en applicatifs (sans être transcendant non plus). Mais la ou clairement c'était la cata c'était sur les calculs flottants, les FPU étant à la ramasse, et les jeux raffolent de ce genre d'unités, d'ou les perf de merde dans le domaine (sans parler d'IPC à revoir, ou d'une exploitation obligeant le 8c/8t pour donner son potentiel, assez compliqué en 2011/2012). AMD en avait conscience en interne avant le lancement que les Flottants posé problème, la force et le succès des Athlon64 vs les Pentium IV venait essentiellement de la.
Sans aucun doute Jim Keller c'est servie des travaux architecturales de Bulldo pour concevoir Zen et c'est surement "lui" qui a transformé l'essais des modules 2 core en CCX 4 core, ça grâce notamment au 14nm qui permettait plus de marge que le 32nm d'époque. D'ailleurs AMD ne l'a pas caché en annonçant un ZEN comme une fusion de Bulldozer et Puma+.
Pour moi Bulldo reste un projet bien trop ambitieux pour les finances d'AMD, et qui à mis 6 longues années a vraiment émergé avec Zen (2011-2017). Rome ne c'est pas fait en un jour, surtout avec les finances d'AMD.
par Jte Roule D3ssus, le Mercredi 27 Novembre 2019 à 16h33  
par Thomas N., le Lundi 25 Novembre 2019 à 14h23
Ça devient de plus en plus monstrueux ces CPU.
C'est peu dire, bientôt 64 cores dans un seul CPU et à des fréquences digne. 16 cores pour un cpu mainstream ... l'approche multi die fait des miracles et maintenant qu'ils s'affranchissent totalement des limitations/problèmes de l'infinity fabric, les résultats sont là.
par Un ragoteur des lumières en Auvergne-Rhône-Alpes, le Mardi 26 Novembre 2019 à 17h48  
par Thibaut G., le Mardi 26 Novembre 2019 à 17h29
elle était même excellente !
C'était même logique comme dirait Spock!
par Thibaut G., le Mardi 26 Novembre 2019 à 17h29  
par Zoroastre, le Mardi 26 Novembre 2019 à 15h35
L'idée de base de Bulldozer n'était pas si mauvaise
Mutualiser certaines unités, afin d'économiser en transistor c'était assez bien vu, mais le travail découlant de cette idée a été bâclée faute peut être de moyens
elle était même excellente !
par Zoroastre, le Mardi 26 Novembre 2019 à 15h35  
par Thibaut G., le Lundi 25 Novembre 2019 à 23h28
et pardi que l'idée de base est CAPITALE quand on veut donner une orientation à son matériel. L'orientation de base des Phenom et Bulldo était mauvaise, il n'a été possible de rien faire de transcendant derrière. Keller a également pensé pour plusieurs générations, pas seulement la première. ET comme j'ai dit, une fois le cap bien défini, il suffit de dérouler le plan, et il se passe très bien pour l'instant, mais ne minimisez pas son influence énorme dans le projet, la feuille de papier a été bien remplie, ça a permis les avancées prodigieuses auxquelles on assiste en ce moment. Si la feuille de base avait été mauvaise, les ingés d'aujourd'hui ne feraient pas de miracles.
L'idée de base de Bulldozer n'était pas si mauvaise
Mutualiser certaines unités, afin d'économiser en transistor c'était assez bien vu, mais le travail découlant de cette idée a été bâclée faute peut être de moyens