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NVIDIA dans le top 10 des vendeurs de puces en 2017

Si il y a bien une chose dont les entreprises raffolent, c'est de faire un maximum d'argent. En même temps, c'est un peu leur raison d'être dans notre cher système capitaliste, et ce ne sont pas les nombreuses limitations marketing qui diront le contraire. Dans cette course aux bousoufs, bon nombre d'acteurs se partagent le gâteau des puces basées sur des semi-conducteurs, Samsung et Intel en tête sans grande surprise ; l'un pour ses activités diverses (RAM, NAND, SoC) et l'autre pour sa domination du marché PC.

 

Avec "seulement" 2% des revenus totaux, NVIDIA fait cette année son entrée à la 10ème place des plus grosses entreprises au monde du secteur en terme de revenus annuel. Cela est signe d'une très forte croissance (+42 % par rapport à 2016), imputable à la croissance folle des cryptomonnaies et une gamme Pascal plus toute jeune mais toujours bien efficace. Avec les verts, seul Qualcomm (et Mediatek, dont la présence dans le top 10 n'est qu'intermittente) est une entreprise strictement fabless, c'est-à-dire ne vendant que des schémas de puces, et dépendant donc de fonderies pour l'implémentation de leurs nouveautés.

 

vente puces 2017

 

Une autre nouvelle de ce classement est l'augmentation très nette (+21,7 %) du marché global : en dépit des difficultés de gravure, l'informatique a encore de très beaux jours devant elle ! On peut également constater un bel enrichissement de Micron et SK Hynix, directement lié au cours haut de la RAM cette année (courage, ça descend !). Pour ce qui est de 2018, la NAND 3D devrait faire les fortunes de ses producteurs, mais il faudra encore attendre avant de dresser ce bilan-là. (Source : EETimes)

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Les 28 ragots
Les ragots sont actuellement
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par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 17h26  
par Un médecin des ragots embusqué le Lundi 16 Avril 2018 à 16h22
Rappelles-nous l'espérance de vie en 1981 et l'âge de départ à la retraite?

Les vieux retraités veulent saigner la jeunesse pour continuer de jouir d'une retraite qu'ils ont acquis à crédit... et pire encore, ils pleurnichent pour 1,7 % de CSG tout en disposant du revenu (un comble pour les travailleurs) et du patrimoine le plus important de France.

Le système des retraites par prédation générationnelle est obsolète!

Et je fais l'impasse sur la sécurité sociale plombée par les viocs qui veulent pourrir la société jusqu'à l'âge de Mathusalem parce qu'après eux viendra le déluge...
Les retraités ont cotisé et ont produit, du moins pour ceux du privé. De plus, toujours pour le privé, c'est une part de leurs salaires (à moins d'avoir cotisé comme des fous à des complémentaires tout leur revenu. Les retraites du public sont effectivement hallucinantes, parfois plus élevées que leur revenus, mais c'est justement celles auxquelles on a jamais touché. Pour info, un retraité du privé, sorti à 65 ans en 95 (c'était possible malgré la retraite à 60 ans) avec toutes les complémentaires de cadre sup touche aujourd'hui à peu près la moitié de ce qu'il était prévu alors qu'il avait largement cotisé pour. Et comme il a pas droit au CMU complet et bazard, qu'un "migrant" ne sachant même pas le français, ignare et inculte, bon à rien ad éternam, fraichement atterri avec la bienveillance de l'UE, notre retraité français qui a fait le peu de France d'aujourd'hui qui marche encore, doit sacrifier sur sa bouffe pour payer ses soins à 90 ans, alors qu'il aurait du avoir de quoi payer du personnel médical à domicile à plein temps.
par Un médecin des ragots embusqué, le Lundi 16 Avril 2018 à 16h22  
par Jemporte le Lundi 16 Avril 2018 à 15h10
Moins de 20% de PIB de dette en 1981, moins que l'Allemagne, le Royaume-Uni etc. Et 0% en 1972, du temps où on payait nettement moins d'impôts.
Rappelles-nous l'espérance de vie en 1981 et l'âge de départ à la retraite?

Les vieux retraités veulent saigner la jeunesse pour continuer de jouir d'une retraite qu'ils ont acquis à crédit... et pire encore, ils pleurnichent pour 1,7 % de CSG tout en disposant du revenu (un comble pour les travailleurs) et du patrimoine le plus important de France.

Le système des retraites par prédation générationnelle est obsolète!

Et je fais l'impasse sur la sécurité sociale plombée par les viocs qui veulent pourrir la société jusqu'à l'âge de Mathusalem parce qu'après eux viendra le déluge...
par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 15h10  
par Un médecin des ragots embusqué le Lundi 16 Avril 2018 à 14h38
Les français ont toujours vécu au dessus de leurs moyens depuis la monarchie... ce n'est pas un fait nouveau, c'est culturel!
Moins de 20% de PIB de dette en 1981, moins que l'Allemagne, le Royaume-Uni etc. Et 0% en 1972, du temps où on payait nettement moins d'impôts.
 

Balivernes!
Payer des impôts sur une base nulle... trop gros ça passe pas.
La faillite c'est le syndrôme du mauvais gestionnaire incapable de constituer une trésorerie pour les années difficiles tout en réalisant les économies nécessaires à la stabilité financière de l'actif.
La menace de la faillite c'est le syndrôme des pleureuses patronales qui souhaitent toujours s'en mettre plus dans les poches aux frais de la collectivité.
Les baisses de charges pour sauver des emplois menacés par la mauvaise gestion n'est pas un bon signal envoyé aux cadres et dirigeants d'entreprises. Des exonérations de charges sur la création d'emplois de longue durée, ce n'est pas le même paradigme.

Déjà URSSAF tu paies un fixe, bon an mal an.... et pour l'impôt il y a désormais le CFE. Pour ce qui est de l'impôt à la source, on paie d'avance pour des salaires dus, sans tenir compte du chiffre d'affaires, le salarié n'ayant plus la moindre info sur ce qui lui arrive aura tendance à s'en foutre : donc diminution du revenu suite à augmentation d'impôts : la faute au patron.
Pour les libéraux c'est bien pire, puisqu'ils doivent avancer l'impôt sur le revenu, qu'il se feront rembourser par la suite.
Pour ce qui est de la trésorerie: aux US et dans le reste du monde qui avance, avec 1/3 d'impôts en gros, il reste 2/3 pour gérer l'entreprise et sa trésorerie, en France l'inverse...
par Un médecin des ragots embusqué, le Lundi 16 Avril 2018 à 14h38  
par Jemporte le Lundi 16 Avril 2018 à 14h19
En France, pays champion mondial des prélèvements, il y a un majorité des la population qui vit en prélèvements négatifs. Juste délirant. Même dans les pays qui nous suivent niveau impôt tout le monde paie sa part.
Les français ont toujours vécu au dessus de leurs moyens depuis la monarchie... ce n'est pas un fait nouveau, c'est culturel!

 

LOL ! Sauf que dès le début il faut payer charges sociales et impôts même en l'absence de chiffre d'affaires. Nouvelle escroquerie du fisc : l'impôt à la source n'est en fait qu'une mensualisation basée sur un chiffre d'affaire précédent virtuel (les autres pays prennent sur l'encaissement des recettes en temps réel).


Balivernes!

Payer des impôts sur une base nulle... trop gros ça passe pas.

 

Un mauvaise année et c'est la faillite par l'impôt injustement prélevé. Pour les professions libérales qui ont des revenus en dents de scie, ajouté au même principe pour l'URSSAF depuis toujours, c'est juste l'horreur.


La faillite c'est le syndrôme du mauvais gestionnaire incapable de constituer une trésorerie pour les années difficiles tout en réalisant les économies nécessaires à la stabilité financière de l'actif.

La menace de la faillite c'est le syndrôme des pleureuses patronales qui souhaitent toujours s'en mettre plus dans les poches aux frais de la collectivité.

Les baisses de charges pour sauver des emplois menacés par la mauvaise gestion n'est pas un bon signal envoyé aux cadres et dirigeants d'entreprises. Des exonérations de charges sur la création d'emplois de longue durée, ce n'est pas le même paradigme.
par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 14h23  
Sinon, étant donné qu'AMD n'a pas sortie de gamme nouvelle, où seulement le gaming était demandeur, il faudrait analyser les chiffres Nvidia et AMD selon l'usage de leurs GPU. Bien sûr, difficile d'accéder à ces chiffres.
par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 14h19  
par Un ragoteur sans nom embusqué le Lundi 16 Avril 2018 à 13h35
C'est clair qu'en supprimant les impôts des riches, ils seront très bien répartis sur le dos des pauvres... c'est lumineux comme idée!
Balivernes!
En France, pays champion mondial des prélèvements, il y a un majorité des la population qui vit en prélèvements négatifs. Juste délirant. Même dans les pays qui nous suivent niveau impôt tout le monde paie sa part.
 

En France, on peut créer une société avec 1 EUR en poche... mais sans business modèle, il ne faut pas s'étonner de perdre du pognon au bout de 6 mois d'activité. Tu crois que l'URSSAF va te réclamer du pognon sur un chiffre d'affaire de zéro?

D'ailleurs seuls les bénéfices des sociétés sont imposables minus les salaires patronaux exorbitants... la belle niche fiscale jusqu'au seuil de la tranche à 45 %.

LOL ! Sauf que dès le début il faut payer charges sociales et impôts même en l'absence de chiffre d'affaires. Nouvelle escroquerie du fisc : l'impôt à la source n'est en fait qu'une mensualisation basée sur un chiffre d'affaire précédent virtuel (les autres pays prennent sur l'encaissement des recettes en temps réel). Un mauvaise année et c'est la faillite par l'impôt injustement prélevé. Pour les professions libérales qui ont des revenus en dents de scie, ajouté au même principe pour l'URSSAF depuis toujours, c'est juste l'horreur.
par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 14h11  
par Un ragoteur sans nom embusqué le Lundi 16 Avril 2018 à 13h50
Vive la nostalgie du c'était mieux avant car lorsque t'avais du pognon t'avais le privilège de faire des études supérieures... et les pauvres avaient le privilège de balayer la rue ou de monter à la chaine à l'usine.
Maintenant, la technologie a retiré le balai et l'usine des pauvres... l'automatisation du chômage est en marche mais surtout pas de revenu universel car c'est promouvoir la paresse de l'être humain fait pour être exploité par ses congénères issus du sperme raffiné de l'aristocratie consanguine française.
Avec autant de branleurs en France, pourquoi serait-il encore nécessaire de distribuer des allocations familiales aux pauvres comme aux riches?
La guerre est terminée depuis 1945 me semble-t-il? La vie des français serait-elle encore menancée? Sans doute par l'initiative de nouvelles guerres (Irak, Mali, Syrie, etc).
Vraiment n'importe quoi. Primo, les études ne coûtaient pas plus cher à l'époque, mais il n'y avait pas de gabegie inutile et les profs avaient un absentéisme nul (faisaient des heures sup gratuites) et les élèves 35/40 par classe se tenaient à carreau et apprenaient ce qu'on leur enseignait un tant soit peu.
Et pour ce qui est de l'automatisation, il suffit de concevoir les robots plutôt que juste les acheter, mais il aurait fallu que le France reste dans le coup. Et de toute manière il n'y a plus d'usine en France, donc l'automatisation n'a aucun impact. Par contre à la ville de Paris, les éboueurs sont de retour au balai alors que sous Chirac ils avaient tous des voiturettes automatiques il y a 30 ans, du temps où c'était propre.
La France est bien devenu un pays de merde, de merdeux et des branleurs assistés !
par Un ragoteur sans nom embusqué, le Lundi 16 Avril 2018 à 13h50  
par Jemporte le Lundi 16 Avril 2018 à 09h32
Sous De Gaulle, Pompidou ce n'était pas comme ça. Le reliquat de l'industrie française et de ses projets datent de cette époque.
Bon, et puis jusqu'au début des années 80, la France avait les meilleurs résultats dans l'éducation, au niveau mondial, et de façon indiscutable. Un bachelier allemand ou pire un anglais, avait dans les 1 à 2 ans de retard flagrant niveau scientifique. Aujourd'hui c'est l'inverse, et pire encore, on n'apprend plus que des formules sans explication et qu'on ne sait pas retrouver. Du coup si les français partis, aujourd'hui cinquantenaires, étaient PDG ou ont leur entreprise, les jeunes d'aujourd'hui, qui partent, sont et resteront sous-fifres.
Vive la nostalgie du c'était mieux avant car lorsque t'avais du pognon t'avais le privilège de faire des études supérieures... et les pauvres avaient le privilège de balayer la rue ou de monter à la chaine à l'usine.

Maintenant, la technologie a retiré le balai et l'usine des pauvres... l'automatisation du chômage est en marche mais surtout pas de revenu universel car c'est promouvoir la paresse de l'être humain fait pour être exploité par ses congénères issus du sperme raffiné de l'aristocratie consanguine française.

Avec autant de branleurs en France, pourquoi serait-il encore nécessaire de distribuer des allocations familiales aux pauvres comme aux riches?

La guerre est terminée depuis 1945 me semble-t-il? La vie des français serait-elle encore menancée? Sans doute par l'initiative de nouvelles guerres (Irak, Mali, Syrie, etc).
par Un ragoteur sans nom embusqué, le Lundi 16 Avril 2018 à 13h35  
par Jemporte le Lundi 16 Avril 2018 à 09h32
Mais le problème principal : les règlementations, et les taxes et impôts en France, particulièrement mal répartis et dépenses sans resultats : ceux qui gagnent parce qu'ils innovent et bossent se font lessiver, les cancres, les glandeurs et les personnes aux positions "acquises" sont épargnés et aidés dans leur rente de situation. Il n'y qu'à lire les fascicules des cours de l'ENA pour voir que c'est LA DOCTRINE indéfectible de l'Etat Français d'aujourd'hui.
C'est clair qu'en supprimant les impôts des riches, ils seront très bien répartis sur le dos des pauvres... c'est lumineux comme idée!

 

Par exemple, un entrepreneur en France doit commencer par payer des taxes, se conformer à des règlementations rigoureuses et coûteuses desquelles il ne pourra plus échapper à vie, avant même d'avoir commencé à gagner de l'argent...


Balivernes!

En France, on peut créer une société avec 1 EUR en poche... mais sans business modèle, il ne faut pas s'étonner de perdre du pognon au bout de 6 mois d'activité. Tu crois que l'URSSAF va te réclamer du pognon sur un chiffre d'affaire de zéro?

D'ailleurs seuls les bénéfices des sociétés sont imposables minus les salaires patronaux exorbitants... la belle niche fiscale jusqu'au seuil de la tranche à 45 %.
par Un ragoteur sans nom embusqué, le Lundi 16 Avril 2018 à 13h25  
par Jemporte le Lundi 16 Avril 2018 à 09h32
Macron s'attaque à quelques problèmes importants qui perduraient certes.
Des problèmes important sont des problèmes de riches c'est ça?

Un bouclier fiscal à 30 % sur les dividendes et les plus values des valeurs mobilières (actions, obligations, etc) par le Prélèvement Forfaitaire Unique (Partie 1 - Titre 1 - article 11 du PLF2018), la suppression de la surtaxe de 20 % des salaires de plus de 152 279 EUR (Partie 2 - Titre 4 - article 44 du PLF2018) mise en place par Hollande pour compenser la suppression de la tranche d'impôt à 75 % pour les clubs de foot, stars du showbiz, patrons du CAC40... voir même les vieux pilotes (syndiqués) d'avion de ligne les mieux payés au monde chez Air France.

Bref, l'autoproclamée "élite" de la nation... par réseau de corruption.

source: https://www.performance-publique.budget.gouv.fr/sites/performance_publique/files/farandole/ressources/2018/pap/pdf/PLF2018.pdf
par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 09h52  
par QuequetteEnOr le Vendredi 13 Avril 2018 à 23h21
Bah c'est mérité vu que pascal a surpassé son concurrent en long et en large
Pas vraiment. C'est d'ailleurs assez flagrant. Les AMD restent devant en calcul parallèle brut. Les Nvidia accentuent leur optimisation API et suivant le jeu. En gros les cartes AMD sont optimisées pour supprimer les calculs invisibles et sans résultat. Leurs moindres performances sous DX12 ou meilleures sous DX11 avec API Nvidia spécialisée, le démontre. Nvidia fait des cartes purement jeu et dont les pilotes sont optimisés pour chaque jeu et chaque patch de jeu. Allez voir ce qui se passe sur les cartes Nvidia qui ne sont plus en vente... alors que chez AMD l'architecture GCN des débuts (7850) tient ses performances.
Sinon pour les résultats financiers, Nvidia fait quand même moins bien que Micron, SK Hynix et Samsung Electronics. Et Samsung Electronics n'est qu'une partie de Samsung (électricité, énergie, sidérurgie, naval, chimie et pétrochimie, et industrie lourde).
par Jemporte, le Lundi 16 Avril 2018 à 09h32  
par Un champion du monde embusqué le Dimanche 15 Avril 2018 à 22h09
C'est une mauvaise blague?

Environ 71 milliards d'euros pour l'éducation nationale c'est mineur?

source: http://www.education.gouv.fr/cid120482/projet-de-loi-de-finances-2018.html
Macron s'attaque à quelques problèmes importants qui perduraient certes.
Mais le problème principal : les règlementations, et les taxes et impôts en France, particulièrement mal répartis et dépenses sans resultats : ceux qui gagnent parce qu'ils innovent et bossent se font lessiver, les cancres, les glandeurs et les personnes aux positions "acquises" sont épargnés et aidés dans leur rente de situation. Il n'y qu'à lire les fascicules des cours de l'ENA pour voir que c'est LA DOCTRINE indéfectible de l'Etat Français d'aujourd'hui.
Par exemple, un entrepreneur en France doit commencer par payer des taxes, se conformer à des règlementations rigoureuses et coûteuses desquelles il ne pourra plus échapper à vie, avant même d'avoir commencé à gagner de l'argent...
Sous De Gaulle, Pompidou ce n'était pas comme ça. Le reliquat de l'industrie française et de ses projets datent de cette époque.
Bon, et puis jusqu'au début des années 80, la France avait les meilleurs résultats dans l'éducation, au niveau mondial, et de façon indiscutable. Un bachelier allemand ou pire un anglais, avait dans les 1 à 2 ans de retard flagrant niveau scientifique. Aujourd'hui c'est l'inverse, et pire encore, on n'apprend plus que des formules sans explication et qu'on ne sait pas retrouver. Du coup si les français partis, aujourd'hui cinquantenaires, étaient PDG ou ont leur entreprise, les jeunes d'aujourd'hui, qui partent, sont et resteront sous-fifres.