Zotac Gaming présente une nouvelle lignée de prêt-à-jouer

D'un côté, on a Zotac, qui vient tout juste de nous balancer pas moins de 7 nouvelles références de mini-pc, de l'autre Zotac Gaming, une branche nouvellement établie et qui nous vient accompagnée des premiers fruits de ses entrailles. Ça reste dans l'esprit mini-pc cher à Zotac, mais en plus grand et visuellement un peu moins passe-partout ou discret, gaming oblige. Messieurs, Mesdames, voici les MEK1.

Tous deux partagent le même boîtier affichant des dimensions de 393 mm en hauteur x 118 mm en largeur x 414 mm en profondeur et qui ne prendra que peu de place là où il se trouve, sans passer inaperçu pour autant. Certes, il n'y a pas de verre trempé à se mettre sous les yeux (youpi ?), par contre les MEK1 vous gratifieront d'une trombine futuriste aux courbes bien prononcées, le tout agrémenté d'un éclairage ajustable que l'on se permettra de qualifier de relativement discret. On remarquera aussi les ouvertures de parts et d'autres pour contribuer au flux d'air. Zotac est vague sur les détails du refroidissement, si ce n'est qu'il y a un ensemble radiateur/ventilo low profile pour le CPU.

Deux versions seront proposées, le MKE1 PC Gaming Black et le MKE1 PC Gaming White. Même boîtier et quasiment même dénomination, mais attention, la configuration offerte est différente selon le coloris. Voyez plutôt :

Bref, du prêt-à-jouer aux configurations raisonnables et suffisantes à condition de ne pas pousser trop fort, particulièrement en ce qui concerne celle avec la GTX1060, la GTX 1070 Ti étant elle, plus qu'apte à tâter avec quiétude la grande majorité des titres récents (voir notre test de la GTX 1070Ti). Du fait de la possibilité d'un bundle tapis/clavier/souris, l'ensemble peut se révéler être assez intéressant pour les nouveaux venus dans le monde du gaming ne disposant encore d'aucun équipement, leur permettant ainsi d'installer, d'allumer et de jouer.

Mais il reste à connaitre les tarifs des deux engins (et de la garantie) afin de pouvoir comparer avec le coût d'un PC à assembler soi-même, et surtout savoir si il est possible d'ouvrir le boîtier facilement en vue d'une éventuelle upgrade, sans forcément en perdre la garantie.