Test • NVIDIA GeFORCE RTX 2060 |
————— 07 Janvier 2019
Test • NVIDIA GeFORCE RTX 2060 |
————— 07 Janvier 2019
Battlefield V est la suite mal nommée de Battlefield 1. Ce dernier plongeait le joueur dans l'enfer de la 1ère guerre mondiale, le nouveau venu prend place au cœur du second conflit mondial et propose comme à l'accoutumée, divers lieux variés allant de l'Allemagne à l'Afrique du Nord, en passant par les Pays-bas, la France et la Norvège. Si cette série s'est longtemps fait connaitre pour son multijoueur très développé, il propose depuis quelques années une campagne solo relativement courte et peu élaborée, mais qui subsiste à contrario de la licence concurrente (Call of Duty) dans son dernier opus. Mais revenons à BF5 qui utilise bien entendu le moteur Frostbite Engine dans sa version 3.5, prenant en charge DX11 et DX12. Spécificité de cette version, un partenariat avec NVIDIA introduisant un rendu hybride rastérisation / lancer de rayons en s'appuyant sur DXR (DX12 uniquement) disponible avec Windows 10 October Update. Nous avons dédié un test express à ce sujet. Le jeu est maintenu à jour via Origin et nous sélectionnons le profil Ultra (DXR désactivé) couplé au TAA, puis nous utilisons un déplacement reproductible pour mesurer les performances.
Deux comptoiroscopes : à droite, nous comparons les presets graphiques, à gauche DX11 vs DX12
Oh les zolis reflets!
Notons tout d'abord que le mode DX12 s'avère moins performant que DX11 sur notre séquence de test, et cela quelle que soit la carte retenue. Il est toutefois indispensable pour profiter de DXR. Nous reportons donc ici les scores DX11, hormis pour le graphe DXR, ce qui donnera d'ailleurs l'occasion de comparer les performances entre les 2 API en FHD pour les RTX (DXR Off). Alors que Star Wars Battlefront 2 utilisant le même moteur conduisait à une relative parité, ce n'est pas le cas ici, avec un gros avantage pour les rouges.
Ainsi, la Vega56 termine sur les talons de la GTX 1080, la RTX 2060 FE faisant peu ou prou jeu égal avec ces 2 là, au gré des définitions. En activant DXR, le mode normal permet de dépasser les sacro-saints 60 i/s en FHD avec la nouvelle venue, les niveaux plus élevés faisant perdre une douzaine d'images par seconde. NVIDIA indique travailler avec DICE sur un patch incluant DLSS : de quoi rendre l'activation des effets RTX encore plus exploitable, même s'il faudra s'assurer de la qualité visuelle résultante et des définitions éligibles.
DiRT Rally est un jeu que l'on n'attendait pas chez Codemasters, qui nous est arrivé par le biais d'un accès anticipé avant une sortie officielle en décembre 2015. Il a renoué (enfin !) avec une conduite réaliste sans tomber dans la simulation pure, ce qui évitera de rebuter les néophytes. Nous applaudissons ce retour aux sources, car le virage arcade des DiRT devenait de plus en plus indigeste. Utilisant le moteur DX11 maison, Ego Engine en version 3, mais voyant l'arrivée de diverses spécificités, dont un blending avancé qui améliore sensiblement le visuel (supérieur à DiRT 4 utilisant pourtant la dernière version (4) du moteur, sans compter l'intérêt du jeu en lui-même) et que nous avons donc activé. Toutes les autres options sont poussées à leur niveau maximum et couplées au MSAA 4X en Full HD et WQHD. Le jeu est maintenu à jour via Steam et nous utilisons le bench intégré en boucle lors d'une spéciale du Pays de Galles sous une pluie intense.
Rien ne vaut une bonne BX 4x4, toutefois la "Sub" ne démérite pas !
Cette fois, ce jeu penche franchement du côté vert, le flagship d'AMD peinant à devancer la GTX 1070 FE en QHD. La RTX 2060 s'avère de son côté bien plus rapide, devançant à nouveau la GTX 1080 FE et ce dans les 2 définitions testées.
Allons faire un petit tour au Montana page suivante.
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