Du Ray Tracing sur des petites puces, c'est un "oui" définitif pour une startup israëlienne |
————— 10 Janvier 2020 à 09h51 —— 10931 vues
Du Ray Tracing sur des petites puces, c'est un "oui" définitif pour une startup israëlienne |
————— 10 Janvier 2020 à 09h51 —— 10931 vues
Si les regards sont majoritairement tournés sur les grands noms de l’informatique actuelle, ces ne sont pas les seuls participants des salons dédiés à l’informatique. En effet, le CES est aussi un moyen pour les start-up moins connues de s’illustrer, comme c’est le cas d’Adshir, une firme en provenance d’Israël, qui a réussi à s’entourer de quelques articles de presse numérique grâce à leur concept alléchant : du Ray Tracing sous très fortes contraintes énergétiques, comprendre les 2 W d’une puce de téléphone portable.
Difficile à croire quand le top moumoute de 2019 se situe chez NVIDIA et consomme à minima 160 W pour un rendu en FullHD nécessitant la plupart du temps une mise à l’échelle par intelligence artificielle via le DLSS. Le concept se baserait sur une simplification de l’algorithme générique de lancer de rayon, baptisée Local Ray Tracing, qui aurait nécessité pas moins de sept ans de recherche et développement ! Évidemment, la technique dessous reste secrète, mais le bousin serait compatible ARM, Intel, Microsoft et Google, iOS devant attendre encore un peu. Des partenariats seraient en outre passés pour les consoles et les terminaux mobiles, mais il faudra attendre la seconde moitié de 2020 pour en savoir plus... De quoi sonner immédiatement les cloches des PlayStation et Xbox nouvelle génération, bien que cela demeure pure spéculation - voire fantaisie - à ce stade.
Du Ray Tracing temps réel aurait été montré sur une GTX 1080 Max-Q lors d’une démonstration, tenant les 60 Hz constants
En tout cas, si l’idée s’avère bonne, nul doute du futur de l’entreprise se tracera au sein d’un plus grand groupe, comme à l’accoutumée. Hé oui, un Intel, AMD ou NVIDIA aura tôt fait de débourser les biftons nécessaires à employer la main-d’œuvre originelle du projet, mais surtout les 20 brevets concernant la méthode, bénéficiant ainsi potentiellement d’une avance technologique sur les concurrents. D’autant plus que Reuven Balakash, le fondateur d’Adshir, est déjà connu pour ses travaux ayant déjà permis de revendre deux de ses start-up à Google et Oracle. Affaire à suivre ! (Source : VentureBeat via NotebookCheck)
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