Parrainage • Récupération et gestion des données : les solutions Ontrack

À l'heure où les SSD voient leur tarif chuter rendant leur déploiement plus que jamais facilité pour tous, ou que les NAS s'installent tranquillement dans notre quotidien avec leur lot de services qui s'émancipent à chaque version d'OS disponibles, il reste un sujet que certains d'entre vous ont peut-être malheureusement déjà expérimenté : la perte de données sur son support, qu'il soit de type magnétique ou de type flash. Une problématique particulièrement présente dans le monde de l'entreprise où les données sont au centre du fonctionnement d'une majorité des structures, surtout depuis l'ère du dématérialisé à toutes les sauces. Des enjeux critiques pouvant amener à l'immobilisation de l'activité, qu'elle soit d'ordre personnelle ou professionnelle, auxquels nombres d'acteurs savent répondre, y compris les constructeurs eux-mêmes qui ont bien compris l'impact d'un tel service auprès de leurs clients. Souvent facturé à prix d'or, mais que coûte une perte de données sur le plan opérationnel ?

Pour celui-ci, il va y avoir du boulot !

Ontrack, société de récupération de données, se positionne précisément sur ce créneau. Créée en 1985 - oui, la même année que Retour vers le futur - outre Atlantique, la société s'est implantée en France à la fin des années 90 et a été rachetée fin 2016 par LDiscovery, structure spécialisée dans les services relatifs à la gestion de données, c'est aujourd'hui un leader sur ce marché. Une fusion ayant abouti à un déploiement sur plus de 40 sites dans 19 pays et quelque 1200 employés. Si cela ne vous dit rien, peut être que le logiciel bien connu Ontrack EasyRecovery vous parlera davantage, toujours disponible en téléchargement, un soft qui a rendu bien des services après un formatage foireux, une attaque virale ou un hacking bien moisi, ou encore tout simplement une défaillance matérielle (hommage au saint patron des désynchros de grappe RAID) sans sauvegarde disponible ou suffisamment récente. Et le créneau est vaste : SSD et HDD bien sûr, mais également tout type de mémoires flash (smartphones et tablettes inclus), de systèmes à bandes, de produits technologiquement fermés à la Apple, et même de machines virtuelles.

En pratique ? Une fois votre disque réceptionné dans le laboratoire (en France, il est situé dans le 91) ou par vous même si vous êtes dans le secteur ou via courrier / transporteur express selon votre degré d'urgence, Ontrack s'engage à établir sous 4 heures et gratuitement (transport compris, sauf pour les mobiles et les grappes RAID) un rapport d'évaluation estimant la quantité de données restituables après passage sur plusieurs bancs de tests visuels, électroniques ou électriques. Ce rapport établit également un devis de facturation selon la complexité de l'opération, mais qui reste indépendant de la quantité de stockage dans la plupart des cas. Si ce devis est accepté, le processus commence alors : copie de travail du support - la société dispose pour cela d'une vaste collection de pièces pour remettre en état les électroniques, si nécessaire - et passage sur une batterie d'outils afin de reconstruire les données perdues. Données qui seront ensuite remises sur un disque neuf, chiffré, qui sera renvoyé au client par transporteur. Tout ça, sur un délai de 12h à 10 jours.

Récupérer, mais détruire avec élégance également

D'un point de vue légal, la confidentialité des données est soumise depuis 2018 au fatigant, mais très utile RGPD. Si les clients intra EU peuvent désormais demander à récupérer toutes données auprès de tiers, et les acteurs de la récupération de données tenus à des registres précis, ils ont également le droit à l'oubli. Ontrack dispose également de divers outils pour assurer la disparition à caractère définitive des data sur leur support, du simple logiciel (qui écrase les secteurs, rendant toute opération de récupération impossible)... au démagnétiseur.