Test • NVIDIA GeFORCE RTX 3050

• Indices de performances

Sur cet indice, la RTX 3050 se montre 78,5 % plus rapide que sa devancière, la GTX 1650. Bien entendu, celle-ci a été rapidement épaulé plus tard par une version SUPER, il n'empêche que le saut générationnel pour cette référence est sensible. Elle s'avère 25 % moins rapide que sa grande sœur utilisant un GA106 presque intégral et doit laisser l'avantage pour 12 % à la RTX 2060 FE. Elle devance également de 19 % la GTX 1660, ce qui la positionne légèrement devant les 1660 SUPER et Ti (respectivement 8 & 12 % plus rapide que la GTX 1660). 

Du côté de la concurrence, elle prend un ascendant d'une trentaine de pourcents sur les RX 590 & 5500 XT. C'est significatif, mais pas transcendant non plus par rapport à des générations précédentes et leurs tarifs respectifs lors de leur lancement. C'est dans tous les cas bien mieux que la RX 6500 XT, le tarif moindre de cette dernière conduit toutefois à un ratio perf/€ similaire (mais en devant faire de grosses concessions visuelles sur la carte d'AMD pour atteindre ce niveau de performance). L'activation du Ray Tracing lui permet de revenir sur les talons de la RTX 2060 et d'égaler la gamme supérieure d'AMD, en l'occurrence la RX 6600.   

• Benchmark

Nous utilisons ici le test Time Spy dédié à DX12 dans 3DMark et nous reportons le score graphique du test. Nous exécutons également le test Superposition en 1080P Extreme, qui sert de promotion au moteur 3D Unigine 2. Nous avons également inclus Port Royal du fait du support du Ray Tracing sur les dernières Radeon et deux tests dédiés à la réalité virtuelle par le biais de VR Mark.

Les résultats au sein des benchmarks confirment peu ou prou la hiérarchie obtenus lors de nos tests personnalisés, même si les écarts sont parfois moindres par rapport à sa concurrente, moins pénalisé lors de ces tests qu'en jeu.

Passons à l'évolution des fréquences en charge et l'overclocking page suivante.