NVIDIA lève le voile et lance la GTX 690 !

NVIDIA GTX 690 (cliquer pour agrandir)

NVIDIA ne manque pas d'éloges en ce qui concerne la construction et le design de sa carte qui selon lui a été très travaillé pour garantir le meilleur. Un étage d'alimentation à 10phases PWM (5 par GPU) est prévu avec 2 connecteurs d'alimentation 8pins, de quoi dépasser le TDP d'environ 300W (263W prévu par le GPU Boost), et ainsi avoir une marge maximale de +35% pour les gourmands soit maxi 355W autorisés par les pilotes. Le système de refroidissement est inspiré de celui de la GTX 590 (souvenez-vous !) avec deux blocs séparés (équipés d'une chambre à vapeur) par un ventilateur axial. En parlant de la GTX 590, la nouvelle venue fait la même taille que son aînée avec 28cm de longueur (11"). La GTX 680 de son côté faisait pour rappel 10" soit 25.5cm.

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En termes de spécifications, on part vraiment sur deux GTX 680, avec 3072 CUDA Cores, 2x2Go de GDDR5 sur des bus 256bits. NVIDIA a dit au revoir à son NF200 en raison du PCI Express 3.0 et utilise un nouveau pont PLX maison. Et pour les performances, car c'est sûrement ce que vous attendez, étant donné qu'il s'agit ici d'un lancement purement et simplement papier : hormis les chiffres donnés par NVIDIA et des estimations à la louche, il est impossible de se prononcer exactement sans tests précis. On peut raisonnablement penser qu'on se rapprochera des performances d'un SLI de GTX 680, avec probablement environ 90% des performances, mais avec l'avantage de n'avoir qu'une seule carte, et tout ce que cela implique. Voici des chiffres avancés par NVIDIA en ce qui concerne le duel GTX 680 / 690 :

Les sorties sont au nombre de 4 : 3xDVI et un mini DisplayPort. Et enfin, pour le prix et la disponibilité NVIDIA annonce la sortie de la carte pour le 3 mai à un tarif de 999$, soit pile-poil le double de la GTX 680 qui est a 499$ ! Un record en la matière, qu'il conviendra de justifier dès la sortie des cartes (qui vu le prix, n'auront pas besoin d'être disponibles en très très grand nombre...), car pour l'instant la presse n'a rien à se mettre sous la dent hormis de beaux graphiques...