Enermax étend sa gamme de boîtiers avec l’Ostrog Lite

L'Ostrog, c'est un boîtier à moins de 50 billets sorti par Enermax en 2012. Depuis, il a eu le droit à différentes versions et on a pu voir un Ostrog GT qui a mal viré avant que le constructeur revienne à ses premiers amours (les DEL en plus) avec l'Ostrog Advance. Les trois n'étant pas suffisants, voici que débarque un Ostrog Lite.

Comme on l'a dit, l'Ostrog Lite revient à l'essentiel avec un format moyen tour mesurant 440 x 194 x 460 mm. Le vrai passionné de la firme aura de suite vu que l'engin est plus court (440 mm de profondeur contre 480 mm pour l'Ostrog) et légèrement moins épais (194 mm contre 220 mm). Sa façade reprend l'esthétisme du premier Ostrog, mais supprime le bloc qui se retrouvait (assez maladroitement) sur la partie supérieure de l'engin. A l'intérieur, vous pourrez coller une mobale au format mini-ITX, µATX ou ATX, accompagnée d'un ventirad de 152 mm de haut, d'une carte graphique de 390 mm de long et d'un bloc d'alimentation ATX standard.

Jusque là, pas grand changement sur l'intérieur, sauf que le nouveau venu s'offre un capot permettant de masquer sa partie basse, masquant ainsi le bloc d'alimentation, son câblage et deux baies pour lecteurs 3,5". Tant qu'on en est à parler de l'agencement interne, vous pourrez ajouter à cela deux lecteurs 5,25" et deux 2,5" dans la partie supérieure. Côté ventilation, il est livré avec un 120 mm à l'avant et à l'arrière, mais pourra recevoir en tout deux 120 mm à l'avant, un 120 mm à l'arrière, deux 120 mm sur le haut et un 80/90 mm sous le capot du bas, à condition de faire l'impasse sur un emplacement 3,5".

Pour en finir avec l'Ostrog Lite, il reste dans l'entrée de gamme du constructeur malgré des allures plus "Premium". Il est plus soigné, mais reste fait d'un assemble d'acier et de plastique, avec des panneaux fins (0,5 mm d'épaisseur) et une connectique E/S juste correcte, comprenant un port USB 3.0, deux USB 2.0 et les habituelles deux jacks audio (casque/micro).