Test • FSP CUT593P

Burn baby burn !

Des deux façades livrées, c'est clairement celle en métal qui a notre préférence, et ce sera donc la première que nous testerons.

Pensez à cliquer pour que ce soit (un peu) plus lisible.

On passe à présent à la façade en plastique, avec ses grosses perforations et son filtre à poussière intégré.

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C'est bien joli tout ça, mais que faut-il en tirer ? Avant tout qu'il n'y a quasiment pas de différence entre les deux façades au niveau des performances. La première, en métal, avec plein de petits troutrous et sans filtre à poussière semble légèrement inférieure, mais de très peu. Quelques MHz tout au plus sur le CPU ou le GPU, et et 1 à 2 °C de moins sur tous les composants, pour peu qu'il y ait effectivement une différence. Si sa relative contre-performance était prévisible, cela montre aussi à quel point les filtres à poussières sont restrictifs, puisque malgré de grosses perforations la seconde façade ne parvient pas vraiment à se démarquer. Les différences ne sont pas dignes de vous priver de votre façade préférée, sauf à être un parano de la poussière.

Il faut également noter que si les fréquences ne sont pas atroces, les températures, elles, sont sensiblement inférieures au NZXT H7 Flow RGB (2024). Celui-ci parvenait à maintenir le GPU plus de 10° plus frais, au léger détriment de la carte mère. Un point qui s'explique probablement par la qualité — ou pas — des ventilateurs fournis dans le boitier FSP.

Il y a également fort à parier qu'avec notre configuration, le ventilateur en extraction à l'arrière n'apporte rien. Si vous avez une configuration comme la nôtre, il sera surement mieux employé en position centrale en haut du boitier. Mais avec un circuit de watercooling AiO, c'est un ajout bénéfique par rapport à tous les boitiers qui s'en passent et misent tout sur la ventilation en façade.