Nous avons essayé • HyperX Cloud Flight S |
————— 17 Avril 2020
Nous avons essayé • HyperX Cloud Flight S |
————— 17 Avril 2020
HyperX Cloud Flight S | |
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Impédance | 32 ohms |
Sensibilité | ? |
Fréquence | 10 Hz - 20 kHz |
Type de haut-parleur | Néodyme 50 mm |
Fréquence micro |
50 Hz - 18 kHz |
Sensibilité micro | -40,5 dB |
Direction micro | Bidirectionelle |
FONCTIONNALITÉS | 7.1 Virtuel, pad programmable, canaux séparés, suppression du bruit |
Connectivité | USB-A |
Mode sans fil |
2,4 GHz custom Windows, PS4, PS4 Pro |
Poids | 320 g |
Tarif | 169,99 € |
Le Cloud Flight S reprend les grandes lignes du design des casques de chez HyperX, en changeant toutefois certains aspects pour l’adapter à l’utilisation en sans-fil. Ainsi, ce modèle est moins aéré pour accueillir une batterie et être plus solide en apparence. Cependant le casque reste avec un poids correct de 320 g quand le micro est branché, ce qui lui permet de ne pas trop peser sur la tête. Son design est harmonieux, avec des courbes qui se suivent et qui lui donne un côté plus uni et il dispose d’un système de maintient en place des écouteurs — avec un léger jeu pour s’adapter à tous les crânes — afin de le maintenir durant sa charge, nous y reviendrons. Question équilibre et souplesse, il n’y a rien à dire, en quelques minutes le casque se fait oublier et il ne vous donnera pas la sensation d’avoir une bouillotte sur vos oreilles après quelques heures de jeu. Pareil, aucune sensation désagréable liée au poids et sa répartition n’a pas été ressentie durant notre test, avec au contraire un casque bien maintenu sans faire trop de pression sur notre tête. Quant aux mécaniques et au cerceau, nous avons le droit ici à de l’acier, ce qui laisse présumer que même si les plastiques peuvent douiller durant une chute, nous ne risquons pas de voir les écouteurs se détacher pour autant.
Le design de ce Cloud Flight S est adapté pour embarquer une batterie et paraître résistant.
Au niveau des coussinets, ceux-ci sont agréables et peuvent accueillir les plus grandes oreilles sans difficulté apparente. Ils sont suffisamment rigides pour étouffer en partie les sons environnants, surtout les registres proches des voix humaines. La mousse présente sur le cerceau est agréable elle aussi et diminuera la présence ressentie du casque. Le micro détachable est simple et facile d’accès, avec une légère lumière rouge pour vous indiquer lorsque vous êtes en mode muet. Cela est plus agréable que les casques vous donnant des indicateurs lumineux dans votre champ de vision, comme le Spearhead VRX de 1more ou le Virtuoso Wireless SE de chez Corsair. Par contre si vous êtes amateurs de cache-oreilles lumineux, vous serez déçus d’apprendre que le casque restera sombre, celui-ci ne disposant pas de loupiottes, qu’importe la couleur. Dernier point, la connexion se fait via un dongle USB maison, compatible sur Windows, mais aussi sur PS4 et PS4 Pro.
Les mécaniques paraissent solides, mais la surface en plastique « doux » a tendance à trop attirer la poussière.
Le Cloud Flight S utilise l’application de HyperX NGENUITY, qui se télécharge depuis le Microsoft Store, c’est donc une application universelle. Si celle-ci fonctionne bien pour ce casque, ses fonctions restent limitées dans l’ensemble à gérer les différents volumes sonores entre le volume de jeu/multimédia et celui du chat, à activer ou non le mode 7.1 virtuel et à programmer les boutons multimédias. Nous donnerons cependant un bon point à la fonction de gestion automatique du 7.1 selon les jeux lancés, bien que celle-ci soit encore très limitée sur les titres pris en charge. On notera cependant que ces derniers sont parmi les FPS/Battle Royal les plus joués du moment.
Si le logiciel a le mérite d’être simple, certaines fonctions essentielles ont été oubliées, il semblerait.
L’autre bon point est l’intégration — assez rare — de la personnalisation des boutons multimédias embarqués sur l’écouteur gauche. Vous pourrez choisir parmi plusieurs options d’interaction avec le système selon vos habitudes : musique, jeux, streaming… Un bon point qui se couple très bien avec les boutons déjà présents sur le casque. Par contre, nous aurions aimé qu’un égaliseur de fréquence soit disponible, cela reste inadmissible sur un casque à ce tarif-là.
La personnalisation des touches présentes sur l’oreillette gauche est intéressante pour les amateurs de musiques ou les utilisateurs de chat vocal.
L’autre gros avantage de ce casque durant son utilisation est l’utilisation du standard de charge par induction Qi afin de se passer de câble envers le casque. Celui-ci sera donc totalement compatible avec tous les chargeurs et sources existant sur le marché qui ont adopté la norme déjà. Grâce au système de maintien des écouteurs, celui-ci se pose facilement sur un dock de charge et peut être aimanté si besoin pour plus de stabilité.
Le dock proposé par HyperX dispose du même revêtement qui attire la poussière que le casque, le rendant très rapidement moins esthétique.
Nous avons pu tester par la même occasion la solution de charge fournie séparément par HyperX, le ChargePlay Base. Il fonctionne via une connexion USB PD de 24 W, il vous faudra donc utiliser des adaptateurs secteurs ou des machines pouvant délivrer ce type de tension. La fonction de maintien du casque par magnétisme est pratique, et le chargeur ne chauffe pas trop pour autant, que ce soit le casque ou lui-même. Il permet de charger deux périphériques en même temps, et étant compatible Qi cela ne se limitera pas qu’aux périphériques HyperX, ce qui permettra de l’amortir plus facilement. Une accessoire utile donc, mais qui ne sera pas nécessaire surtout si vous n’avez pas d’autres périphériques que ce casque qui utilise la charge Qi.
Le casque se tient facilement et sans encombre en équilibre pour recharger sa batterie en Qi
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