Razer Turret : le syndrome du clavier-souris sur le canapé

Si comme le célèbre Capitaine Haddock vous n'avez pas la place pour un boit-sans-soif de bureau dans la satanée cabine de votre cercopithèque de rafiot, vous aurez opté pour une configuration de salon. Jouer depuis ce tchouk-tchouk-nougat de canapé sur le téléviseur est confortable, sauf du côté de ces vauriens de périphériques invertébrés qui n'ont rien de facile à utiliser.

Razer a une solution pour vous, le syndrome Turret. Finies les frasques de ces iconoclastes de claviers et cornichons de mulot, le tout-en-un et sans-fil vous tend les bras. Un clavier plateau (avec antighosting sur 10 touches) muni d'une batterie pouvant tenir quatre mois sur lequel pourra être posée une souris à capteur laser (3500DPI) avec une autonomie de 40 heures. Un rêve éveillé dirons certains, mais le Capitaine en est encore à rager sur cette canaille de bachi-bouzouk, de pirate bois-sans-soif, de flibustier cannibale, d'ornithorynque va-nu-pieds, d'ectoplasme de Min-Liang Tan qui s'est dit que 189,99€ serait un bon tarif pour l'engin.