Test • NVIDIA GeFORCE RTX 2060 & 2070 SUPER |
————— 02 Juillet 2019
Test • NVIDIA GeFORCE RTX 2060 & 2070 SUPER |
————— 02 Juillet 2019
Battlefield V est la suite mal nommée de Battlefield 1. Ce dernier plongeait le joueur dans l'enfer de la 1ère guerre mondiale, le nouveau venu prend place au cœur du second conflit mondial et propose comme à l'accoutumée, divers lieux variés allant de l'Allemagne à l'Afrique du Nord, en passant par les Pays-bas, la France et la Norvège. Si cette série s'est longtemps fait connaitre pour son multijoueur très développé, il propose depuis quelques années une campagne solo relativement courte et peu élaborée, mais qui subsiste à contrario de la licence concurrente (Call of Duty) dans son dernier opus. Mais revenons à BF5 qui utilise bien entendu le moteur Frostbite Engine 3.x, prenant en charge DX11 et DX12. Spécificité de cette version, un partenariat avec NVIDIA introduisant un rendu hybride rastérisation / lancer de rayons en s'appuyant sur DXR (DX12 uniquement) disponible avec Windows 10 October Update. Nous avons dédié un test express à ce sujet. Le jeu est maintenu à jour via Origin et nous sélectionnons le profil Ultra (DXR désactivé) couplé au TAA, puis nous utilisons un déplacement reproductible pour mesurer les performances.
Deux comptoiroscopes : à droite, nous comparons les presets graphiques, à gauche DX11 vs DX12
Oh les zolis reflets!
Notons tout d'abord de gros changements depuis nos précédents tests. DiCE a semble-t-il basculé comme attendu le jeu sous une branche plus récente de son moteur, en conséquence, le mode DX12 s'avère cette fois nettement plus performant que DX11 sur notre séquence de test, et cela quelle que soit la carte retenue. Nous reportons donc ici les scores DX12. Si ce jeu a depuis son lancement été nettement favorable aux rouges, cette évolution réduit notablement l'avance des Radeon sur les GeForce, même si elle perdure. Les 2 SUPER apportent une grosse douzaine de pourcents de plus que les modèles homonymes, de quoi ramener la 2060S au niveau de la Vega64, sa grande sœur finissant à respectivement 6 et 11% des RTX 2080 et Radeon VII dominant le peloton.
DiRT Rally avait été une vraie bénédiction pour les amateurs de rallye et conduite réaliste, alors que la série s'orientait de plus en plus sur le drift et une conduite très arcade devenant (très) indigeste pour certains. Sa suite a été commercialisée en février 2019 et persévère dans la même veine, pour le plus grand bonheur des amateurs de réalisme. Il s'appuie toujours sur l'Ego Engine, moteur DX11 maison, conservant dans cette version, un blending avancé qui améliore sensiblement le visuel, très agréable au demeurant. Pour les options graphiques, nous utilisons le niveau maximum couplé au MSAA 4x (sans TAA), ce titre souffrant d'un aliasing élevé sans ce dernier. Le jeu est maintenu à jour via Steam et nous utilisons le bench intégré lors d'une spéciale sur terre en Nouvelle Zélande par temps clair, sachant qu'il n'est pas possible pour l'heure de personnaliser à l'envie les lieux et conditions.
Rien ne tel qu'une petite ballade champêtre en BX ou presque !
Les GeForce profitent à plein des derniers pilotes, patch et réglages pour prendre un léger ascendant sur les Radeon, alors que c'était plutôt le contraire au lancement du jeu. Les 2 SUPER continuent de se positionner là où elles étaient attendues, la 2070S devançant même la RADEON VII.
Allons faire un petit tour dans un Montana post Apocalyptique page suivante.
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