En cabine • Razer Huntsman v3 Pro |
————— 21 Mars 2024
En cabine • Razer Huntsman v3 Pro |
————— 21 Mars 2024
Impossible pour ce Hunstman V3 Pro de nier sa parenté avec le Huntsman V2 Pro Analog. On retrouve exactement le même layout général et l’ADN Razer, avec une topplate en aluminium brossé. Bien que tout le reste du clavier soit constitué de plastique, ce qui explique le poids plutôt contenu de l’ensemble, la qualité d’assemblage ne souffre aucun reproche. Encore heureux, vu le tarif.
Le bouton juste à gauche de la molette de volume sert à la lecture et gestion des pistes, les 2 autres sont programmables à votre guise.
De l’extérieur, 4 aspects le différencient instantanément de son prédécesseur. D’abord les 3 boutons multimédias et la molette de volume ont été retravaillés, cette dernière se débarrasse de son biseau est un peu plus agréable à utiliser du bout du majeur. Razer a également abandonné les sigles sur ces 3 touches, et pour cause, il ne s’agit plus seulement de touches multimédias. En effet, les 2 touches de gauche peuvent être réassignées via le pilote, la 3e remplissant à elle seule les fonctions Play/Pause, piste suivante et piste précédente via 1, 2 ou 3 appuis. Un appui sur la molette permet de réduire le volume à 0 (mute).
Les 10 LEDs sous les témoins d'état du clavier servent d'indicateurs pour le réglage à la volée de la profondeur d'activation et du déclenchement rapide.
Second changement, les indicateurs lumineux au-dessus des flèches directionnelles sont placés sous un petit bout de plastique transparent. Outre l’aspect un peu plus prestigieux, c’est surtout pour protéger les 10 LEDs qui servent d’indicateur pour les réglages de l’activation et du déclenchement rapide (nous y reviendrons). On retrouve également une 6e LED sur la première ligne qui reflète le profil employé.
Avec cette 3e itération, Razer abandonne également le câble fixe et passe à un connecteur USB-C. Une bonne chose, d’autant plus que ce dernier n’est pas propriétaire — il faudra simplement veiller à ne pas dépasser 12x8mm pour la coque du connecteur — comme ça a pu être le cas sur certains périphériques de la marque. En revanche, voilà qui exclut au passage la présence d’un port USB sur le clavier.
Enfin, 4e amélioration, le repose-poignet abandonne le coussin moelleux habillé d’un similicuir très fin au profit d’une garniture beaucoup moins généreuse, plus ferme, et d’un habillage qui semble plus durable. Et c’est tant mieux, car de nombreux repose-poignets Razer avaient la fâcheuse tendance à partir en miettes au bout de quelques mois d’usage intensif. La marque conserve la liaison magnétique, dont la force d’attraction est à peine suffisante pour déplacer le clavier sans que le repose-poignet ne se détache.
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1 • Préambule |
2 • |
3 • A pwal & logiciel |
4 • A l'usage & verdict |