Test • NVIDIA GeForce GTX 1660 SUPER |
————— 29 Octobre 2019
Test • NVIDIA GeForce GTX 1660 SUPER |
————— 29 Octobre 2019
Afin de reproduire une mise en situation de nos cartes nous permettant de les départager au mieux en réduisant les autres points de limitation des moteurs 3D, nous avons opté pour une configuration musclée. Exit la plateforme X99 / LGA 2011, puisque nous utilisons à présent le couple Z390 / LGA 1151. Ce CPU est plus performant en jeu, tout en étant plus accessible, ce qui correspond davantage aux choix d'un joueur pour une plateforme dédiée gaming. Nous désactivons l'hyper-threading afin de privilégier la répétabilité des mesures et utilisons une grande quantité de mémoire vive pour éviter toute limitation à ce niveau.
Nous avons réuni pour ce test le panel de cartes suivantes, avec entre parenthèses les fréquences GPU et mémoire maximales en MHz. Pour rappel, la fréquence GPU variera plus ou moins largement à la baisse, pour les cartes dotées d'un "boost" par rapport à cette valeur indiquée, selon la charge, température et/ou consommation. Cette indication max n'est donc là qu'à titre purement informatif et ne correspond pas forcément à la valeur des fréquences appliquées durant les tests (plus de détails un peu plus bas).
SAPPHIRE RX 580 Nitro+ (1411/2000)
SAPPHIRE RX 590 Nitro+ SE (1560/2100)
AMD Radeon RX 5700 (1700/1750)
Gainward GTX 1660 Pegasus OC (2010/2001)
Palit GTX 1660 SUPER GamingPro (1965/1750)
Palit GTX 1660 Ti StormX (1965/1500)
Petit aparté concernant GPU Boost et Powertune : nous avons indiqué pour information les fréquences maximales atteignables par les cartes à notre disposition, notons qu'en pratique lors d'une séance de jeu soutenue, l'augmentation de la température GPU et/ou la consommation atteignant les limites fixées par les constructeurs, vont conduire à une baisse plus ou moins sensible des fréquences de fonctionnement. C'est pourquoi nous veillons à "bien faire chauffer" les cartes entre chaque session de benchs et nous ne commençons les mesures de performances des cartes disposant de ces mécanismes de contrôle, que lorsque la température de fonctionnement se stabilise, impliquant une baisse des fréquences pour celles ne disposant pas d'un refroidisseur capable de maintenir (avec les réglages par défaut) une température inférieure à ces seuils sous forte charge. Lorsque ce n'est pas possible (comme dans le cas de benchs "automatisés"), nous répétons ces derniers jusqu'à atteindre ces températures lors des passes suivantes et ne comptabilisons les résultats qu'à partir de ce moment.
Windows 10 Pro (1903) 64-bit
AMD Crimson Adrenalin 2019 19.10.2
NVIDIA GeForce 441.07
Nous utilisons Windows 10 (May 2019 Update) dans sa version 64-bit afin d'exploiter une quantité conséquente de mémoire vive et ne pas limiter les jeux qui en auraient besoin à ce niveau. Cela nous permet également d'inclure les jeux DX12 et DXR, qui ne sont supportés que par ce dernier. Les dernières mises à jour de l'OS et de DirectX sont bien sûr installées.
Côté pilotes, nous employons les derniers disponibles au moment des mesures. Les réglages par défaut sont utilisés pour les deux constructeurs : ils impliquent une optimisation du filtrage trilinéaire et de la Tesselation (uniquement les RADEON pour cette dernière), qui conduit à limiter le facteur maximal de cette dernière, afin d'éviter une amplification géométrique risquant d'engorger le GPU. Voici ce que cela donne pour les cartes du caméléon :
Réglages par défaut des pilotes GeFORCE
Notez que le panneau de contrôle d'AMD introduit avec les pilotes Crimson et toujours d'actualité avec les Adrenalin, version 2019 y compris, est une franche réussite en termes de design et de réactivité. L'avantage à ce niveau qui était plutôt du côté du caméléon en 2015 a, là, changé de camp. Voici les réglages par défaut des RADEON :
Réglages par défaut des pilotes RADEON
La configuration est installée dans un boîtier Cooler Master Cosmos II disposant d'un ventilateur 200 mm en façade, un 140 mm à l'arrière et trois 120 mm au sommet, tous étant raccordés au rhéobus intégré positionné sur la vitesse intermédiaire et couplés à des adaptateurs LNA de Noctua. Pour les tests à proprement parler, les résultats ont été obtenus via FRAPS 3.5.99, Frameview 0.9.4124.26691055 ou PresentMon sur un déplacement reproductible, et correspondent à la moyenne de 3 "passes" minimum. La température de la pièce est maintenue à 21°C durant tous les tests. Lorsque le jeu inclut un outil de bench représentatif et fiable (répétabilité des résultats du test), nous pouvons également l'utiliser (toujours 3 "passes" minimum).
Le panel de test comprend 14 jeux afin de mesurer l'efficacité de nos cartes dans diverses situations. La philosophie retenue est de n'utiliser qu'un seul jeu par moteur 3D, afin de limiter le "poids" de chacun au niveau de l'indice global. Nous essayons de suivre l'actualité vidéo-ludique en remplaçant régulièrement des références par de nouvelles, en respectant toutefois le point précédent et en s'assurant que le titre retenu convient à cet exercice (répétabilité, absence de limitation, etc.). Nous avons choisi les définitions 1920 x 1080 (FHD) et 2560 x 1440 (QHD) qui siéent à ces cartes. Enfin, les mesures sont réalisées avec des niveaux de qualité précisés lors de la description de chaque jeu testé ou dans les graphiques.
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