Test • La GTX 680 sur un PC Gamer de 2006

• Mafia Deux

Nous passons à un jeu réputé sorti durant l'été 2010, Mafia 2. Son style, sa liberté, sa réalisation lui ont valu des accessits, c'est aussi un jeu bien poussé aux fesses par le caméléon puisque PhysX est géré. Cette session a été faite sans PhysX, contrairement à la prochaine qui en a bénéficié. Le moteur usité ici est nommé langoureusement The Illusion, et gère DX10. On conserve le même protocole, Full HD détails à fond :

A tous les niveaux, un Athlon X2, ancien cador en son temps, ne peut alimenter la GTX 680 comme elle le mériterait, a contrario du Core i7 3820, même bridé. On peut voir qu'à 3250 MHz, le X2 divise par deux les FPS Moy par rapport au 3820 complet, quant au FPS Min, on peut voir qu'il est bien bas et ces variations de framerate sont désagréables pour jouer. Le Windsor fait plus que jamais son âge pour cet usage, en revanche le 3820 ne fait pas descendre la GTX 680 trop bas, ce qui donne cette impression de fluidité lors du bench.

• Mafia Deux + PhysX

Nous avons voulu tester PhysX dans les mêmes conditions de test que précédemment, nous avons réglé PhysX (by Nvidia) sur élevée dans les options du jeu. Nous nous sommes également amusés à utiliser la Geforce 8200 intégrée au 780a SLi comme carte dédiée PhysX, déchargeant la GTX 680 de ce travail. Il faut se rappeler que cette GF8200 compatible DX10 comporte 16 processeurs de flux, une fréquence de 500 MHz pour les coeurs et 1200 MHz pour les shaders. Voyons les résultats :

Ca fait très mal encore une fois, la GTX 680 est totalement sous exploitée avec l'Athlon, qu'il soit ou non overclocké, même si entre les deux fréquences on double les FPS Moy. Notez que la GF8200 quant à elle ne peut traiter de façon correcte PhysX quand on lui alloue cette tâche, les performances générales sont encore pire que quand c'est la GTX 680 qui s'en occupe. Une bonne idée sur le papier, une catastrophe en réalité. On voit aussi que le CPU joue un rôle important dans la gestion de PhysX puisque le 3820 bridé se prend une sacrée volée de bois vert dans les gencives, et fait mouliner le GPU dans des valeurs qui sont proches de celles débitées par l'Athlon.