Test • Azza Cast

• l'Azza Cast

Voilà le Cast plutôt aéré comme châssis

Par où commencer ? Par les dimensions, ce sera plus simple. Le Cast fait 470 mm de hauteur, 220 mm de largeur et 460 mm de profondeur, pour un poids à vide de près de 11 kg.

La forme du boîtier reste proche de ce que l'on voit habituellement. Cependant, la carcasse est une coque faite d'acier et d'aluminium. La façade est épurée sur ce modèle, avec une plaque lisse légèrement avancée, sur laquelle nous pouvons voir le logo de la marque. La connectique externe se situe sur la partie inférieure, et elle se compose de deux ports USB 3.0 et un port USB 3.2 Type C. Les E/S audio sont également placées ici, tout comme le bouton de mise en marche.

Le mode desktop peut être adopté avec ce modèle, mais on ne pose pas l'écran dessus

Passons en vitesse sur l'arrière du boîtier. Nous y trouvons un emplacement d'alimentation, six slots d'extension à l'horizontale et trois à la verticale, ainsi qu'un emplacement de ventilation occupé par un Hurricane III aRGB de 120 mm. Tout ceci se trouve sur un squelette à nu comme vous pouvez le voir.

La carcasse est faite d'une seule pièce. La plaque arrière est en acier, et les deux "ailes" fixées dessus en aluminium. Cette coque fait toute l'originalité du Cast, qui est une sorte d'hybride open frame. À droite du boîtier, la surface est unie, tandis qu'à gauche les deux ailes laissent un espace important ouvert.

Deux options s'offrent à vous, poser le boîtier de façon classique, debout donc, ou alors en desktop et dans ce cas des patins sont fournis pour ne pas abîmer la peinture.

• Alain terrieur

L'intérieur, plus accessible une fois la carcasse démontée

Pour accéder à l'intérieur, il faudra coucher votre boîtier. Une fois à plat vous pouvez ouvrir les ailes du Cast. Là, il faut retirer cinq vis qui maintiennent le châssis en place et pousser le squelette vers l'avant. Ceci aura pour effet de désolidariser les deux parties.

Le stockage c'est par ici

Nous avons donc extrait le squelette qui accueille la configuration. Le plateau compatible ATX, possède pas mal d'ouvertures permettant le passage des câbles. Aucun d'eux n'est protégé, donc il faudra prendre soin de votre management. On y voit également deux emplacements pour le stockage. Vous pouvez installer ici un disque dur de 3.5" ou deux de 2.5".

L'emplacement du bloc d'alimentation, au fond, possède un cache qui vous permettra de dissimuler le surplus de câbles. Sur la façade nous trouvons de la place pour trois ventilateurs de 120 mm ou deux de 140 mm. Ils sont laissés libres pour vous permettre d'y installer ce que vous voulez. Par contre, nous avons tenté la mise en place d'un Kraken X63, ça coince. Le X53 passe sans trop de mal lui.

En retournant le châssis, nous trouvons un support amovible pour deux SSD sous l'accès backplate. Et à vrai dire, c'est tout. Le châssis assez rudimentaire, mais plutôt bien conçu. Vous y trouverez suffisamment de points d'ancrage pour arranger au mieux le câblage.

La mise en place

La mise en place se passe dans d'excellentes conditions, dès que le démontage de la coque est terminé. Le châssis à nu permet de ne pas être gêné lors de la manoeuvre. Le modèle est assez gros pour vous permettre d'installer un dissipateur de 165 mm, une carte graphique de 360 mm et une alimentation qui n'est tenue par aucune restriction. Si en théorie le support de ventilation accepte les radiateurs de 360 mm ou 280 mm, nous avons vu qu'avec un Kraken X63, ça ne passe pas forcément. Il faudra veiller à ce que la cuve du radiateur ne soit pas trop grande, comme c'est le cas sur les radiateurs Asetek.

Une fois la configuration en place, nous remontons le châssis dans la carcasse, nous refermons le boîtier et le voilà prêt à chauffer.

Concernant le tarif, nous savons que le modèle est annoncé au prix de $209,99 de l'autre côté de l'Atlantique. La bonne nouvelle est que de ce côté de l'atlantique le prix annoncé est de 179,90 € pour la version blanche et 189,90 € pour la version noire.