Test • Alphacool Eisbaer Solo Chrome |
————— 30 Septembre 2019
Test • Alphacool Eisbaer Solo Chrome |
————— 30 Septembre 2019
Vous trouverez dans les graphiques qui suivent une courbe montrant l'évolution de la température du liquide à la sortie du waterblock sur la période de test. Nous effectuons un premier relevé après 30 min de repos, puis nous faisons un pointage toutes les 5 minutes :
Pour cette première série de mesures, nous pouvons voir que le liquide ne réagit pas de la même manière selon le TDP qu'il aura à encaisser. Dans tous les cas, avec 140W à dissiper, la température tend à se stabiliser dès la dixième minute de stress. La montée est assez nette en début de période puis se ralentit par la suite.
Une fois le processeur overclocké, la montée en température sera constante jusqu'à la fin du benchmark. L'écart en fin de chauffe est assez homogène entre les deux courbes, puisqu'il est de l'ordre de 5°C jusqu'à 50%. À 25%, la montée est brutale et le processeur ira au crash après 10 minutes de chauffe. Nous avons tout de même relevé les températures jusqu'à la fin de le demie-heure.
Dans le même temps, nous procédons à la mesure de la vitesse de rotation de la pompe et du débit de celle-ci. Notre logiciel nous indique une vitesse de rotation de 3000 tpm, voire un poil plus, contre 2600 indiqué sur la fiche technique de l'Eisbaer Solo. Nous notons donc un écart de 15% environs. Le débit mesuré semble confirmer cet écart de vitesse, puisque le débitmètre nous indique une fréquence de 1470 RPM, ce qui correspond à plus ou moins 1,45 litre de liquide par minute. Un rapide calcul nous permet de constater que la pompe débite plus de 87 litres/h, soit là encore une hausse par rapport à la fiche technique.
L'Eisbaer Solo en place
Dans cette seconde partie, nous avons installé différents radiateurs sur notre Eisbaer Solo. L'idée était de garder une cohérence de performance donc nous avons choisi des références plutôt classiques. Elles sont classées par types, tout simplement.
Première chose que l'on remarque, l'épaisseur ça compte ! Les radiateurs de 45 mm donnent de meilleurs résultats, ce qui est logique jusque-là. Ensuite, les modèles X-Flow se comportent un peu mieux que les 240 mm classiques. Nous obtenons de meilleurs résultats avec ceux-ci à pleine vitesse lorsqu'il y a un gros TDP à dissiper et jusqu'à 50% de la vitesse de rotation des Noctua. L'écart est moindre avec un processeur plus docile, les références en 240 mm produisant sensiblement les mêmes résultats. Pour trouver un réel écart, il faudra taper dans les 360 mm, et encore, le ST30 ne se démarquera pas franchement.
Petite particularité, la quasi-totalité des modèles ne parviendra pas à tenir la charge avec des ventilateurs bridés à 25%. Seul le NexXxoS XT45 360 y arrivera et plutôt bien même.
Nous remercions naturellement nos partenaires pour la mise à disposition du matériel de test
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