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Nous avons essayé • SteelSeries Rival 500
La droite de la Rival 500
La gauche de la Rival 500
Tranche droite de la Rival 500
Tranche gauche de la Rival 500
La Rival 500 de face
La Rival 500 de dos
Le bidon de la Rival 500
Les entrailles de la Rival 500

• Pouce ! Pouce !

SteelSeries est une firme qui a un certain succès auprès des joueurs, surtout grâce à son excellent 6Gv2 dont l'Apex M500 est un fier descendant. L'avis est plus mitigé dans le monde des souris, même si la Sensei a ses fans (surtout dans le monde des FPS). Avec la gamme Rival, la firme veut se renouveler et ne s'en sort pas mal autant sur le format qu'au niveau des fonctionnalités. Rappelant étrangement la grosse Spatha d'ASUS, la bestiole offre six boutons au pouce, trois à l'index, deux à l'annulaire, trois sur la molette et un en dessous pour un total de quinze, tous programmables. L'ensemble est assez bien réparti, comme vous pouvez le voir en image.

 

La droite de la Rival 500 [cliquer pour agrandir]La gauche de la Rival 500 [cliquer pour agrandir]

Equipée la bestiole

 

Comme le dit la fiche produit, l'engin mesure 119 mm de long pour 78 mm de large et 43 mm de haut. Pas un monstre, mais les petites mains pourront commencer à trouver son volume un peu conséquent. Légèrement inclinée vers la droite, la prise en main en est agréable, avec des zones texturées qui permettent de bien la tenir. Son câble est par contre très fin et non tressé, preuve que SteelSeries a essayé de faire des économies sur certains points, ce dernier étant assez malheureux sur un périphérique destiné aux joueurs.

 

Tranche droite de la Rival 500 [cliquer pour agrandir]Tranche gauche de la Rival 500 [cliquer pour agrandir]

Elle fait le dos rond pour un coup de pouce

 

Si son profil droit n’est pas très intéressant, à gauche on peut découvrir la zone destinée au pouce. Pas de placement de douze touches inaccessibles ici, mais six boutons savamment pensés pour que le plus gros de nos doigts puisse les utiliser sans peine. Les deux du bas s'activeront de la tranche, celui du fond du bout du doigt comme celui du centre, le grand du fond pourra être actionné avec la pulpe du pouce sans le déplacer et celui tout à droite pourra être activé en pressant sur la souris, sans avoir besoin de jouer de l'articulation. La zone marquée d'un trait rouge est fixe et permettra aux adeptes de prise en main dite "Finger" d'utiliser l'engin sans risquer un clic malheureux. À ce sujet, un commutateur mécanique sous la souris permet de bloquer les deux boutons du bas, évitant ainsi toute maladresse. En parlant de prise en main, les adeptes du Finger et Claw seront à la fête, mais en Palm il faudra avoir une main assez conséquente pour épouser correctement l'engin. De la même façon, le dégagement fait pour le pouce demande une main assez large au risque d'avoir du mal à activer le bouton situé à droite de la zone fixe marquée d'un trait rouge.

 

 La Rival 500 de face [cliquer pour agrandir]La Rival 500 de dos [cliquer pour agrandir]

De face et de dos avec sa plaque que l'on peut retirer et personnaliser

 

Outre la présentation de la petite plaque "Rival" que vous pouvez retirer et personnaliser (grâce au fichier pour imprimante 3D disponible sur le site de SteelSeries), comme on le disait précédemment, la souris est inclinée vers la droite. Pourquoi ça ? Car l'eSport a vu arriver tout un tas de blessures dues à des séances de jeu excessives et il est donc devenu important d'avoir des appareils plus ergonomiques. Certains apprécieront donc de voir la souris un peu inclinée, mais sachez que cela ne soulagera pas vraiment votre canal carpien. La seule vraie technique pour ne pas se faire mal est de faire attention à sa position une fois installé sur le PC. Pour la souris, il faudrait idéalement garder la main dans la même position que si vous teniez une balle de tennis, ce qui se rapproche relativement d'une prise en main Claw (ou Finger en fonction du format de la souris). Ici, avec une main assez grande, c'est tout à fait faisable, mais ça ne le sera pas avec toutes les mains.  Avec pas loin de 130 g sur la balance, il faudra de toute façon une main assez sure pour aller jouer en Finger dessus.

 

Le bidon de la Rival 500 [cliquer pour agrandir]

Le dos de l'engin, avec son commutateur salvateur

 

Sous la bestiole, on trouve le commutateur permettant de désactiver les deux boutons du bas de sa tranche gauche. Pourquoi faire ça ? Pour éviter des clics malencontreux dans les situations où ces deux derniers ne sont pas utiles. Elle a le droit à trois patins en téflon et son capteur est central. À part le commutateur, c'est du standard.

 

 

Les entrailles de la Rival 500 [cliquer pour agrandir]

Démontage de l'engin !

 

Une fois à l'intérieur de la bête, on pourrait s'attendre à du mégotage pour ne pas dépasser les 100€. Ce n'est cependant pas le cas, avec un assemblage assez bien pensé, même s'il existe plus robuste. Un PCB bien chargé (sans switchs Omron pour ceux qui attendraient de voir cette marque débarquer) et les composants promis, soit un capteur PixArt PMW3360 et de quoi embarquer des profils en balade. L'histoire du retour haptique est gérée par le petit cercle métallique qui se trouve sur le dos de l'engin (en bas de l'image de gauche), un petit moteur qui en fonction de l'impulsion reçue pourra vous envoyer différents signaux en fonction de la façon dont vous l'aurez configuré. Pour revenir au capteur, l'histoire des 16000 DPI reste un délire mercatique puisque dépasser les 1000 DPI est impossible en jeu pour une majorité de joueurs. C'est cependant un capteur qui a prouvé qu'il était à même de satisfaire le joueur et associé à un bon tapis, il ne décevra pas.

 



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