Test • ASUS Rog Strix B550-I Gaming |
————— 28 Août 2020
Test • ASUS Rog Strix B550-I Gaming |
————— 28 Août 2020
Bien qu'un boost automatique ou le PBO soient disponibles sur la carte mère, nous préférons utiliser des paramètres maison sur le 3900X afin d'obtenir des résultats reproductibles et stables :
Pour une carte de petite taille, l'efficacité thermique est au rendez-vous et les températures sont plutôt bien contenues sur les VRM. Cependant, le montage un peu serré et en ligne droite des VRM fait grimper rapidement la température du PCB, mais cela reste acceptable. Il reste dommage que la ventilation des VRM ne souffle pas un peu d'air sur cette partie du PCB, comme chez ASRock, afin de garantir une meilleure tenue des températures si nous utilisons un gros CPU, mais vous pourrez utilisez un Ryzen 3900X sans aucun souci ici. Le chipset monte un peu en température lorsque le CPU est en charge lourde, mais vu le peu d'éléments qui lui sont connectés et ses lignes PCIe en version 3.0, il n'y a que très peu de risques que cela impacte vos périphériques.
De gauche à droite : images infrarouges de la carte mère au repos / en charge à 95 W / en charge à 150 W
Basée autour d'un chipset ACL1220 et de deux amplificateurs opérationnels de bonne qualité, la carte devrait offrir de bons résultats sur RMAA :
Dans l'ensemble, rien n'est à redire, car que ce soit sur les chiffres ou sur les graphes, les résultats sont plutôt bons. Le bruit de fond est très faible, et malgré la présence de quelques pics, ils sont en dessous des parasites audibles. La dynamique est bonne tout comme la stéréophonie, et le dégradé harmonique du THD est bon, le son devrait donc rester fidèle à l'origine. S'il restait un point à dire pour trouver une légère faiblesse, il pourrait s'agir des IMD qui sont tout de même bien présentes, ce qui peut rendre le son moins détaillé dans son ensemble.
THD (Taux de Distorsion Harmonique) - IMD (Taux de Distorsion d'Intermodulation)
Une fois que nous faisons chanter la carte, les résultats se confirment, à la grande joie de nos tympans. Le son est propre et clair, ni agressif et ni trop mou, peut être un poil trop neutre pour certains mélomanes. Qu'importe l'impédance du casque utilisé, le circuit permet de délivrer un son fidèle qui ravira autant les amateurs de musique, de cinéma ou de jeux vidéo. Cependant, cela permet d'entendre les limitations du chipset audio ALC1220, qui manque parfois de naturel. L'utilisation de DAC externes et d'une meilleure puce de traitement audio seraient donc les derniers éléments manquant pour obtenir une carte son irréprochable.
Nous remercions naturellement nos partenaires pour la mise à disposition du matériel de test.
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1 • Préambule |
2 • La carte, elle raconte quoi ? |
3 • Protocole & côté BIOS |
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