Test • Club3D HD5850 Overclocked Edition |
————— 18 Février 2010
Test • Club3D HD5850 Overclocked Edition |
————— 18 Février 2010
Il n'est pas de bon aloi sur ce papier de disséquer l'architecture interne des HD5800, celle-ci a déjà eu son chapitre que vous pouvez consulter ici (NDPM : mais pas là, attention). La Club3D reprend donc la même base technique que la HD5850 sortie il y a 5 mois, avec 1440 SP, 1 gigot de GDDR5 sur bus 256 bits, un Cypress gravé en 40nm et compatible DX11. Ainsi c'est le ventirad ici qui est différent, avec les fréquences qui passent de 725/4000 à 760/4200 MHz pour le duo core/mémoire.
La carte arrive dans un carton noir brillant assez réussi, on peut y lire au premier coup d'oeil les particularités incluses, comme l'Eyefinity, le support du bus PCIE 2.1, ou encore la présence du coupon Dirt2. Le bundle quant à lui est frugal mais correct, c'est à dire un CD de pilotes déjà dépassé, un pont Crossfire, 2 fiches d'installation anglaise et allemande, un adaptateur DVI/VGA et le coupon Dirt2.
Passons à la bête. La première impression qui ressort est qu'elle parait imposante, et pourtant elle ne l'est pas plus que la HD5850 standard, la faute incombant au ventilateur de 92 mm qui trône fièrement au milieu de la carte, et aux 4 caloducs qui surgissent des entrailles du radiateur en faisant des arcs de cercle (ok un peu aplatis les arcs) au dessus de lui. Fatalement ces caloducs font que la carte sera plus haute que la hauteur de la double réglette du panneau arrière.
Le panneau arrière est des plus classiques par rapport aux autres HD5800, puisqu'on compte deux DVI, un HDMI, et un Displayport, ainsi qu'une petite grille d'aération qui permet à l'air chaud de s'évacuer en partie. La face arrière cache sous le gros plastique noir les deux molex et laisse apparaître le radiateur qui surmonte les VRM.
Une fois le cache dévissé de ses 4 fixations, on peut voir que le ventilateur est solidaire de la coque noire, et fait 15mm d'épaisseur. Les puces mémoire d'ailleurs deviennent apparentes et sont d'origine Samsung. Le radiateur qui est en charge des VRM est assez haut, il est quasiment aussi haut que le double slot qu'occupe la carte, et profite d'une fraction de l'air brassé par le ventialteur. Le radiateur est d'une structure connue, qui rappelera l'ancien VF1000 sans ventilateur, les ailettes d'aluminium sont alimentées en joules par les 4 caloducs en U et en cuivre, eux même trouvant leur source sous la plaque de contact au GPU également cuivrée. C'est du classique dans la conception, mais ça pulse bien aux yeux et laisse une excellente impression.
Voilà donc la carte vue sous toutes les coutures, le radiateur tiendra-t-il toutes ses promesses ? le ventilateur sera-t-il silencieux ? Les performances seront-elles au RDV ? Autant de questions qui méritent une réponse : vite tripottez votre souris !
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Un poil avant ?Comme prévu, les Catalyst 10.2 sont là ! | Un peu plus tard ...AMD: vers des Athlon II en stepping C3 |
1 • Préambule |
2 • |
3 • Protocole et configuration |
4 • Crysis et Dirt2 |
5 • Far Cry 2 et Stalker Call of Pripyat |
6 • Resident Evil 5 et UT3 |
7 • Overclocking et températures |
8 • Conclusion |