Test • Azza Pyramid Mini 806 |
————— 23 Novembre 2020
Test • Azza Pyramid Mini 806 |
————— 23 Novembre 2020
Voilà le moment critique, la mesure des températures en charge. Pour ce faire, nous mettons à rude épreuve le boîtier testé en utilisant notre hexacore surmonté du Ventirad AMD. La gestion de la vitesse de rotation du système de refroidissement de la carte graphique sera réglée sur auto comme indiqué dans le protocole. Le logiciel OCCT est utilisé en mode "Alimentation" (CPU+GPU) afin de solliciter l'ensemble durant une heure complète. Les températures relevées sur la carte mère, le disque dur, le processeur et la carte graphique sont exprimées en Delta T, c'est-à-dire en écart par rapport à la température ambiante.
Pour ce qui est des performances, nous contraignons le modèle afin d'en mesurer les limites. La ventilation de boîtier, en aspiration, est suffisamment puissante pour évacuer le surplus de chaleur. Trop même, puisqu'elle met en échec le refroidissement via le radbox AMD par exemple. Un modèle performant, comme nous utilisons, est à privilégier, voir même un petit watercooling pour profiter de plus de performances.
Le delta du GPU grimpe haut par contre. Nous restons sous un seuil convenable à pleine vitesse, mais ce sera plus délicat lorsque la ventilation du boîtier est régulée. L'aération de la carte graphique placée sur le fond du boîtier est mal optimisée, puisque son ventilateur puise l'air frais sous le plateau de carte mère et l'espace est limité. La tourner vers le bas, avec une belle ouverture sur le fond aurait permis de corriger cela.
Le SSD NVMe profite du dissipateur de la carte mère pour maintenir une température acceptable. La carte mère quant à elle profitera très peu du flux en dépression produit dans la pyramide.
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1 • Préambule |
2 • Présentation |
3 • Protocole et Nuisances sonores |
4 • |
5 • Verdict |