Nous avons essayé • ASUS ROG STRIX Flare |
————— 27 Avril 2018
Nous avons essayé • ASUS ROG STRIX Flare |
————— 27 Avril 2018
La roulette permet de gérer le volume sonore, et est en outre cliquable, ce qui permet de couper/remettre le son de votre engin. L'emplacement est très intuitif et les touches accessibles, bien plus simplement que par des raccourcis du type Fn+FX. Mention spéciale pour la molette située sur côté gauche, ce qui permet de régler le son en jeu sans lâcher la souris ni décoller les yeux de l'écran !
Les macros sont enregistrables selon deux méthodes différentes : soit manuellement (Fn+Alt, puis combinaison, re Fn+Alt, puis choix de la touche), soit par le logiciel maison ASUS Armoury II. C'est également par ce dernier que s'effectueront les éventuelles mises à jour de firmware (quelque peu capricieuses par ailleurs) et la personnalisation des effets de couleur. Il est également possible de remettre à zero le clavier en restant appuyé 5 secondes sur Fn+Esc, ce qui peut être bien utile en cas de fausse manipulation. On notera par ailleurs que les explications d'enregistrement manuel de macro sont faites dans un demi-quart du manuel papier livré avec le clavier... On aurait aimé un peu plus de clareté !
Si ROG Armoury II manque de quelques finitions, il fait son travail correctement
Pour rester sur les macros, cinq profils sont personnalisables, auxquels il faudra ajouter celui par défaut non modifiable, qui permettront de conserver à la fois les macros enregistrées, mais aussi des couleurs des 13 effets RGB programmables. Parmi ces derniers, on trouvera les classiques arcs-en-ciel, statique, sur pression des touches, respiration, ou encore un effet de pluie façon Matrix très plaisant. Rien à redire donc de ce côté-là, le ROG STRIX FLARE sait en mettre pleins les yeux.
L'éditeur de macros : simple, rouge, efficace
Le PCB noir est solide et épais, les soudures sont de bonne facture. Les emplacements des touches sont annotés, et les touches longues bénéficient de deux switch supplémentaires, ce qui permet une frappe relativement silencieuse pour un feeling très uniforme. On remarquera la surcouche blanche sur la face supérieure du clavier, permettant d'accentuer la coloration RGB sans pour autant être visible une fois remonté.
ASUS n'aura pas fait d'économie sur la quantité de ses vis, on en dénombre pas moins de quatorze pour maintenir le PCB en place, auxquelles viennent s'ajouter celles sécurisant le plastique supérieur. Tous leurs emplacements n'auront par contre pas survécu au démontage, finesse du pas de vis oblige.
Si le logiciel ROG Armoury II n'est pas disponible sous Linux, toutes les fonctionnalités pré-enregistrées restent présentes. Il est donc toujours possible d'utiliser et d'enregistrer des macros à la main, de naviguer entre les profil et les différents effets de lumière. Les touches média et volumes restent également utilisables, un bon point pour ceux dont la Raymonde n'est pas le seul centre d'intérêt.
N'ayant pas au moment de ce test la possibilité de tester la synchronisation avec d'autres périphériques, il est difficile de poser un avis sur cette fonctionnalité. Néanmoins, l'activation d'un profil Aura désactivera tout autre profil de rétroéclairage clavier, y compris sous Linux. Pour les réactiver, il faudra repasser par l'application. Dommage !
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Un poil avant ?Une baisse de 40% des livraisons de GPU en avril ? Et les prix avec ? | Un peu plus tard ...Et voilà, Jim Keller et Intel, c'est officiel ! Qu'attend-on de lui ? |