Nous avons essayé • CHERRY KC 6000 Slim |
————— 20 Août 2018
Nous avons essayé • CHERRY KC 6000 Slim |
————— 20 Août 2018
Un fois la partie d'utilisation standard couverte, passons au démontage. Selon votre point de vue, vous pourrez trouver que Cherry a fait un excellent ou détestable travail en cachant absolument toutes les vis nécessaires au démontage, deux sous l'étiquette au dos et une en dessous de chaque cale en caoutchouc. Si nous avions peur que ces dernières, simplement collées, ne survivent pas au démontage, tel n'as pas été le cas, l'adhésif utilisé fait encore parfaitement son job en dépit d'un arrachage en règle. Un bon point pour la durabilité donc.
"Surprise, on était cachées !"
Les touches sont par contre solidement fixées par les mécanismes en ciseaux, rendant un démontage individuel quasiment impossible, et le remontage des plus ardus. Ce dernier se décompose assez classiquement en deux pièces plastifiées accrochées à la touche d'une part et au châssis de l'autre via huit encoches emprisonnant les pieds. La partie centrale du ciseau est également simplement clipsée, et ce sont ces minuscules trous qui seront les plus propices à une déformation lors du démontage. Le retour de la touche est quant à lui assuré par une membrane élastique ; rien de bien nouveau en somme !
Après un bon quart d'heure, enfin sortie !
Si retirer les pieds ne vous suffit pas, sachez que les vis dont nous vous parlions précédemment ne permettent que de retirer la protection inférieure en plastique. On révèle ainsi une armature métallique fixée au support principal par des plots en plastique, indélogeables. Au vu de la finesse du clavier, cela n'est ni particulièrement surprenant ni rédhibitoire ; mais toute réparation sera un vrai parcourt du combattant, tout comme la mise à disposition de pièces de rechange.
Pour les amateurs de dos nus, voici donc celui du KC 6000 Slim. Mis à part la microscopique carte pour contrôler le tout (sans éclairage ni macro programmable, pas besoin de bien grand !) et les bloqueurs du câble USB, pas grand chose n'est à noter. En cas de dysfonctionnement du câble, les plus aventureux pourrons tenter de le changer, la prise utilisée à 4 contacts étant relativement standard. Pour le reste, le métal est bien rigide, le nombre de plots amplement suffisant, et l'impression de qualité qui se dégage de l'ensemble n'en est que confirmée.
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Un poil avant ?Et la RTX 2070 dans tout ça ? | Un peu plus tard ...Une mobale H310C compatible 6e, 7e et 8e génération Intel ? Apparemment, en Chine... |